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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 00:18

 

 

 

 

 

 

 

 

Réponse au message de  "Charles" sur le même fil de discussion du 16 décembre 2013

 

 

Cher Charles, je vous remercie bien au contraire d’avoir rectifié mon analyse, à partir d’une perspective complémentaire très importante. 


 En ce qui concerne les conciliaires, protestants ou autres, qui sont adeptes de ces mouvements charismatiques, et en forment la base,  on doit reconnaitre de simples  manifestations de mentalité magique; et pour ceux qui ont renié ou oublié leur héritage chrétien,  il y a régression du genre du Christianisme, au genre de la religiosité primitive.  
Mais s’agissant des responsables ostensibles, ou en coulisses, de ces mouvances, vous soulignez à juste titre le noir dessein de détruire la Sainte-Trinité, qui ne peut pas ne pas être le leur derrière ce « phénomène ».  

Adultérer le Saint-Esprit, qui n’est pas un quelconque Dieu qui se communique, d’abord,  prétendre l’isoler de Dieu Notre Père et de N.S.J.C. ensuite,  l’assimiler  encore à cette universelle « une force » vaguement panthéiste qui affleure dans le subconscient humain, l’amalgamer enfin à l’expérience psychique exaltée d’adeptes assoiffés de « miracles », tout cela se ramène à une machine de guerre contre l’Incarnation.         

J’ai pu entendre des clercs conciliaires affirmer qu’avant V2, la Personne du Fils était trop omniprésente, et que le fait que le Troisième Personne soit mise en avant  était un soi-disant  »signe des temps ».   Mais le Père Eugène a fait litière de ce genre d’imposture au § 16:  
16. Le Pentecôtisme « catholique » et les Renouveaux charismatiques ou dits « spirituels » portent à croire et même affirment que nous pouvons établir des rapports personnels avec la Personne du Saint-Esprit alors que la justification et la sanctification sont l’œuvre des Trois Personnes divines ensemble ; nous ne pouvons avoir de rapport qu’avec Dieu et non avec une Personne divine exclusivement ; seule la Sainte Humanité de Jésus a des rapports exclusifs avec la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité par suite de l’Union hypostatique.

Ce sinistre mouvement n’est donc pas seulement une illumination de digne de cartomancienne de  bas étage,  il consiste aussi et surtout un détournement de la vie spirituelle catholique qui n’est que Trinitaire:  si nous pouvons être réellement effusés de l’Amour du Saint-Esprit, ce n’est que parce que notre âme peut participer surnaturellement à la Vie du Père, et parce que nous  tendons à l’identification, par inhabitation ontologique, au Fils!      

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 00:12

 

 

 

 

 

 

 

 

Parmi les intéressantes observations du Père Eugène de Villeurbanne, j’ai relevé celle-ci :

7. Nulle part il n’y a trace dans l’Écriture que l’événement de la Pentecôte dût être renouvelé à toutes les époques, à tout nouveau peuple ou nouvelle civilisation ou classe sociale, encore moins à tous les particuliers, surtout en faveur des étrangers à la Foi catholique ; usurper cette fonction relève à la fois de l’escroquerie et du sacrilège.

 
La Pentecôte a révélé une chose surnaturelle : le Saint-Esprit a été communiqué concrètement aux Apôtres.
Cette chose surnaturelle a eu lieu : c’est un fait historique.  
Ce fait surnaturel historique comporte un impact ontologique sur l’Église. Pour elle, il a donc  été un événement fondateur, et unique, qui dure dans le temps.


Mais ce n’est pas parce que ses effets perdurent dans le temps, que  cet événement serait devenu un phénomène, qu’il est un phénomène, et pire qu’il aurait été tel  depuis l’origine. Analyser une chose factuelle qui a été un événement unique, en phénomène, c’est l’interpréter comme une chose psychologique, sociologique, culturelle, historique.
C’est indirectement l’assigner dans le monde des apparences, puisque le sens qu’on lui donne est abstrait, analytique ; vite,  il devient un paradigme, un  processus, et même une méthode, un canevas de « pensée » ou plutôt de « ressenti ».  Et l’on serait donc en droit de vouloir le vouloir, pouvoir et même devoir le revivre.
Or n’est-ce pas là la prétention des propagandistes de l’hypnose et de l’auto-hypnose « charismatique » ou « pentecôtiste » ?   »Faire Pentecôte » chez les égarés de la zone géographique occidentale de notre planète,  cela se ramène à simplement reproduire « les scènes d’enthousiasme où le dieu (Isis et Osiris ou Déméter ou Dyonisos) prenait réellement possession de l’âme (la conscience en transe) qui l’invoquait ».
Il faut directement aller à la qualification réelle du phénomène psychologique, car ici c’est bien un phénomène, et donc requalifier culturellement l’apparence religieuse qu’il se donne. Dans le  « pentecôtisme charismatique », rien n’est chrétien, seuls quelques mots sont chrétiens, et seulement parce que les coupables occidentaux de ces simulacres blasphématoires et sataniques évoluent encore hélas au sein de quelques vestiges littéraires et verbaux « chrétiens » !           

 

MARTIAL,

message dans le fil de discussion publié

sur le Catholicapediablog,  sous l'article intitulé "le Pentecôtisme soi-disant catholique" du 16 décembre 2013

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 17:14

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je réponds ici à une série d'objections de Jollo ayant trait à la manière de combattre les erreurs et les manquements des prêtres traditionnalistes et sédévacantistes, manière qu'il sanctionne en arrière-fond par sa sentence lapidaire, qui semble sans appel chez lui, savoir : 

"Il me semble qu’il n’y a pas plus de foi dans le sédévacantisme que dans la période qui a précédé le concile".

1/Certes ce sont bien tous les Européens catholiques en leur ensemble, dont on peut dire qu'ils ont été des renégats politiques de la monarchie catholique,  ont persévéré dans l'erreur intellectuelle, et ont renoncé à l'intuition vitale qui va de pair avec le sensus fidei.  

Mais parmi eux, et du sein même de ce "grand refus",  ce sont bien les clercs qui se levant pour devenir prêtres,  devaient par le fait même de leur sacerdoce ou de leurs vœux religieux, entrer en résistance politique, vivre en dissidence intérieure, et exprimer une libération intellectuelle, par rapport à cette inversion   politique, sociale, et morale.

Or si de grands saints qui étaient nécessairement "mystiques" et charitables" tout à la fois ont constitué une éclatante exception qui ont confirmé cette tragique "règle", c'est qu'ils avaient conservé le trésor de la Révélation malgré la lente paganisation et noachisation de la société, la négation rationaliste et hédoniste, et l'enténèbrement du jugement sur la vie ontologiquement surnaturelle (et non pas  "pseudo-surnaturaliste" comme dirait l'autre)!  

2/Dès lors les milliers de clercs dont les fidèles ont payé de très longues études, ont assuré un train de vie acceptable, et ont entouré d'un respect quasiment aveugle, avaient-ils répondu à leur vocation en n'étudiant pas, en demeurant si souvent oisifs, en adoptant et à contretemps des pastorales opportunistes ? Et enfin, en brûlant,  du jour au lendemain,  tout ce qu'ils étaient censés avoir adoré le jour leur ordination (ne lisait-on pas avant V2,  ce que dit du Sacerdoce l'Imitation pour ce citer que cette seule référence ? N'ont ils pas parjuré l'explicite serment antimoderniste?   

Ce qui est inadmissible du simple ouvrier, du simple soldat, du simple gestionnaire...faudrait-il l'admettre de la part de clercs?  

3/Enfin en ce qui concerne spécialement les traditionnalistes ou sédévacantistes, pourquoi sont-ils incapables de tenter d'amorcer le début d'une tentative de réfutation, de niveau égal, de textes anticatholiques émanant des plus purs théologiens conciliaires actuels (je ne parle pas ici de la théologie de patronage de dixième zone qui est celle de François zéro).

 

Par exemple, je pense à un texte en ligne sur internet consacré à l'Eglise corps du Christ, qui démontre absolument que les conciliaires ont parfaitement compris l'explication et la compréhension selon la doctrine thomistes de "stricte observance" si je puis dire, et qu'ils la rejettent en toute connaissance de cause.  Et ils la rejettent d'autant plus délibérément que je suis certains que les MM. d'Avrillé et d'ailleurs n'ont pas même compris ce qu'ont ont compris les "hyper et néo modernistes d'aujourd'hui, et n'ont pas même compris que les Ennemis éclipsant l'Eglise avaient compris;  il sont dont totalement incapables de réfuter sur des bases philosophiques et pluridisciplinaires  de haut niveau, la doctrine conciliaire actuelle en 2013 dont le modernisme de Saint Pie X n'est qu'un pan enchevêtré parmi beaucoup d'autres nouveaux.     

Je pense encore à une analyse du néo-modernisme qu'a publiée au mois de juillet dernier, et  sur une forum prétendu catholique, un simple laïc, hélas conciliaire. Cette analyse est d'une grande pertinence sur des points fondamentaux, qui sont totalement inconnus de nos "clercs les plus parfaits" même si elle apparait partielle et incomplète car méconnaissant les enseignements antilibéraux et la synthèse qu'apporte l'intelligence contemplative catholique.  Cette personne a compris une quantité de choses et pourtant il demeure conciliaire: comment se fait-il que les clercs de la "Tradition", si poussifs et étroits, soient malgré traditionnalistes et auraient mieux compris qu'elle ?

En réalité, nous savons que leur traditionalisme ou leur sédévacantisme  s'avère souvent transitoire (avant un ralliement supreptice plus ou moins tardif)  car il repose sur le sable.

On comprend, face à cela, qu'il est impératif d'exprimer les exigences de la charité de la vérité.   

 

 

 

 

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 00:05

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'on en découvrira les raisons profondes, lointaines, intellectuelles, dans le fait que la philosophie réaliste a été supplantée par les philosophies du « sujet », anthropocentriques, agnostiques ou crypto-athées, dès la fin de l’époque médiévale.
S’y ajoute, en ce qui concerne l’élite, noble, bourgeoise, et spécialement ecclésiastique, la substitution de la formation chrétienne qu’elle recevait jusque là, par une formation néo-païenne (cf. les enseignements de Mgr J.J Gaume, voir sur le site des ACRF).
 
Est allée de pair avec cette lente régression religieuse, morale et sociale,  la forfaiture , la trahison, la prévarication,  et la corruption de la majorité des rois catholiques, de la noblesse, et singulièrement du clergé, et ce à partir de la Réforme, laquelle a été suivie par le jansénisme, le libéralisme, etc…
Vers 1700, notez que les messieurs de Saint Sulpice n’enseignent que la philosophie cartésienne et non plus scolastique ! (cf. Jean de Viguerie)
A partir de la Révolution, les idées du Progrès,  du Bonheur (« une idée neuve en Europe ») de l’Egalite, de la Liberté, du Scientisme… ont anéanti foncièrement chez les Européens et donc au sein de la majorité de la Hiérarchie catholique, le sens de la vérité, le concept de vérité, l’origine et la fin de la Vérité.


 Cet empoisonnement  de la raison, de l’esprit,  et du cœur, s’est propagé concrètement sous la forme de facteurs aussi divers que d’un côté, l’exégèse critique de l’Ecriture Sainte,  mais aussi de l’autre le mirage hédoniste associé au progrès technique dans la société, 
de même et surtout du fait de l’absence de toute résistance intellectuelle de la part de l’Eglise, et de toute contre-attaque politique de la part des souverains catholiques libéraux, expliquent la suite de la chute vers l’apostasie.
 
En effet, face à un défi d’une ampleur aussi  « apocalyptique »,  ce sont de telles contre-offensives, donc aussi bien:
doctrinales du niveau de l’œuvre de St Thomas en son temps, que politiques de la nature de celle d’un nouveau  règne de Saint Louis, qui auraient dû fonder et animer la Contre-Réforme Catholique, une Contre-Révolution, un Contre-Modernisme, etc…


Bien au contraire, la Révolution mentale, morale, et affectant la notion même de la nature humaine, opérée entre 1750 et 1958 a été conjuguée sur cette même période à  l’opportunisme, à la  »collaboration », à l’infiltration libérale, marâne et maçonnique de la Hiérarchie, (lire impérativement Mgr Delassus, la conjuration antichrétienne, Ed. St Remi) et dès lors, a été mise en miettes la théologie devenue un verbiage éthique, a été corrompue en fidéisme la spiritualité, a été préparée l’apostasie mentale, théologique, morale et sociale de la Hiérarchie telle qu’elle a été amorcée lors de cette élection en 1958 (nonobstant son trucage évinçant le cardial Siri). 

 


 Voilà pourquoi en 1958,  les cardinaux, titulaires d’un héritage aussi creux, précaire, et termité,  ne possédaient   aucune  des réelles défenses immunitaires de toute nature qu’ils auraient dû détenir,  lorsqu’ils ont été confrontés au coup d’Etat et à la voie de fait qu’a constitué l’exigence des Autorités mondiales de l’époque que Roncalli devienne le premier faux pape de l’église d’EUX!  
M.Jollo, lisez donc les ouvrages référencés sur le site ACRF, que vous a indiqué Cave Ne Cadas,  et si vous savez attendre, alors le Bon Dieu (car il s’agit de Lui, dans cette citation) vous ouvrira la porte. 

Martial,
intervention publiée le 7 décembre  sur le Catholicapediablog, fil "le délire sacré envahit l'église Conciliaire" du 2 décembre 2013
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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 22:58

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaire de l'observation de Charles, qui est la  suivante: 
L’état de sainteté qu’est le célibat consacré ne saurait en effet s’imposer en dehors de l’Église, faute d’être instantanément récupéré au profit du Prince de ce monde ! Comme quoi, en définitive, leurs singeries…

 

Parallèle entre la tactique Révolutionnaire concernant le mariage,

et la stratégie Conciliaire concernant les voeux religieux

 


Le maintien provisoire par les cinq prédécesseurs de BernGogol de la règle du célibat ecclésiastique (une de « leurs singeries » comme vous le dites) participe du volet parodique de l’opération globale d’intoxication dédiée du maximum de Gogos.
On peut y discerner une similitude avec le maintien provisoire, par les cinq républiques maçonniques « en Fronce », du respect des conditions naturelles du mariage, respect qui ne participait également qu’un des volets parodiques de l’opération satanique de mise en chaos de la société.


 Ainsi, quand la dissolution mentale des gogos atteint un niveau plus intéressant, les Ennemis de Dieu laissent tomber alors le stade parodique  antérieur, ayant constitué une concession tactique, patiente et à long terme,  afin d’accéder enfin à une phase destructrice plus intensive.


 Il semble dès lors que l’un d’entre eux, BenGogol,  va imposer en sa secte Conciliaire, ce qu’un parmi d’autres de  ces Ennemis, à savoir son frère et « aîné », F.MOUllande, v ient d’exiger avec son Mariage Pour Tous,  dans sa grande secte de la cinquième ré(pugnante)publique…   

 

 

En ces quelques tournures trop elliptiques, je fais donc simplement référence au processus « solve/coagula ».

 

1.- En niant réellement, mais de manière sournoise, en particulier le mariage catholique greffé sur le mariage naturel, la Révolution et la République, ont  inventé ex nihilo des institutions de droit privé civiles, un état des personnes séculier  et un statut personnel et familial laïc.
 
Ce faisant, elles ôtent bien tout principe stable et objectif à la vision du monde commune de nos contemporains et de nous mêmes, depuis deux siècles :  désormais, ce sera l’opinion démocratique qui fabriquera la réalité sociale et humaine en Progrès indéfini…

2.- Néanmoins, les gouvernants républicains doivent procéder avec prudence afin que ne se manifestent pas des réactions de rejet risquant de contrecarrer le processus d’anéantissement progressif.  Ils se méfient des défenses « naturelles » du peuple… C’est pourquoi par exemple, le code civil relatif à la famille, et  hormis le divorcé légalisé au début de la "3ième Prostituée", avait tout l’air du mariage catholique et naturel jusque vers l'anée 1975. Le bon peuple croyait conserver  alors tous les avantages de la nature sans devoir plus subir les insupportables  »règlements » religieux…

 

3.- Le MPT est une marche en avant tout aussi perfide que celle opérée par la laïcisation révolutionnaire ; avec lui, la RÉVOLUTION laisse tomber la concession, temporaire et calculée, que formait selon ses calculs, le mariage républicain, faux reflet du mariage bourgeois et chrétien…

Mais en même temps, il faut cependant que la RÉVOLUTION puisse préparer les esprits et l’état social  - , et  donc sous ce masque pseudo-libérateur-égalitaire-compassionnel  du « MPT »,   -  aux réformes décisives qui pourront avoir lieu vers l'époque 2040 et légalisant le « meilleur des mondes » du point de vue de la conception des enfants par exemple.

 

Elle parodie donc aujourd’hui, et pour l’instant, un stade davantage révolutionnaire dans son « solve » dissimulé,  en intitulant encore et toujours  sa réforme de   "mariage" (alors qu’il s’agit de « paires »)  car le mariage reste encore gravé dans le subconscient de ces masses que la Révolution s’est jurée de dresser à la schlague,  et en se parant en la matière, surtout de la défense de la Loi Suprême de l’Égalité !


 De son côté, la secte conciliaire utilise donc les mêmes processus de manipulation mentale, avec cent cinquante années de différé d’exécution  (soit depuis 1960). Mais là encore, son attitude se borne à s’inscrire dans la feuille de route non-dite  qui a été fixée aux  dernières institutions sociales qui demeurent réputées, d’après nos maîtres, récalcitrantes à l’Ordre du Progrès nihiliste. L’Église catholique, qui a toujours été considérée comme l’ennemi le plus dangereux, a pour cette raison dû être infiltrée de manière quasi-scientifique et de main de maître : « en tiare et en chape ». Il faut  vraiment  être niais comme un libéral materialiter pour légitimer encore la secte conciliaire qui évince et éclipse l'Eglise.

 

Ce que la secte maçonne nomme Égalité, la secte conciliaire le désigne « Amour », et elle rajoute simplement que cet « Amour » est Dieu… Il serait donc conforme à « Dieu » que les « prêtres » de son « Amour » vivent  cet amour par exemple en se mariant. Et pourquoi en se mariant ? tout simplement parce que cet état de vie  correspond au stade psychologique et sociologique actuel où sont parvenus ces pauvres clercs et fidèles irrécupérables de la secte conciliaire…

 

 

 

 

MARTIAL,

interventions des 11 et 12 septembre sur le Catholicapediablog, sous le fil intitulé "un prêtre coquin de Miami changé d'église pour épouse sa belle"
 
  
   
  

 

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 22:13

 

 

 

 

 

 

 

Réponse à l'objection suivante:

Maria Valtorta, c’est peut être gnan gnan, trop ci trop ca n’empêche que je vous mets au défi de me démontrer une seule erreur théologique.

 

 

Il faut redire que le problème posé ne se situe pas dans le domaine des possibles vérités ou des fréquentes erreurs théologiques dont témoignent les femmes en question.
Car s’il s’agit de connaitre la vérité, Le Magistère, les Pères et Docteurs de l’Église nous offrent tout ce dont nous avons besoin. 
Sur ce plan, et dans le cadre catholique, l’expérience « mystique », et  en particulier ces fameux « témoignages extraordinaires » ne représentent rien intrinsèquement. 
Certes, lorsqu’il s’agit d’expériences émanant d’authentiques catholiques, elles contiennent une utilité spirituelle et pastorale, en tant que modèles.  Mais l’enseignement doctrinal de ceux qu’on appelle spécifiquement  »les mystiques catholiques » n’entretient pas de lien nécessaire, et encore moins de lien de causalité (sinon dans le sens contraire à celui qu’un vain peuple imagine…la « révélation » apporterait une lumière nouvelle sur la Révélation…) avec les faveurs dites extraordinaires qui parsèment accidentellement et superficiellement leur vie intérieure. 

 


 Chacun sait que lorsqu’on dit son chapelet, ou lorsqu’on médite sur les mystères du Rosaire, et a fortiori lorsqu’on prie mentalement à partir d’une scène, ou d’une parole Évangélique, notre esprit oscillera entre la simple attention au Bon Dieu ou à la TSVM, et diverses considérations intellectuelles, ou de multiples représentations imaginaires qui alterneront avec les simples actes de foi que nous devons de manière répétée.
Maintenant, supposons par exemple que l’un quelconque d’entre nous  décide un beau jour de s’arrêter, de s’appesantir, de se complaire narcissiquement sur ces diverses pensées qui hantent normalement et banalement sa prière. Ces pensées sont d’ailleurs tantôt plus ou moins réfléchies, tantôt purement imaginaires, et dérivent aisément, à défaut de reprises en main par les actes de foi que nous devons poser successivement, vers les « distractions mentales » propres à l’âme en état de prière et qui doivent être combattues. 


 Dans cette hypothèse, nous aurons alors le récit de témoignages divers, visions personnelles, intuitions plus ou moins fantasmagoriques bien qu’elles restent cependant dans le cadre des références évangéliques et des Dogmes. Quelle est la valeur de ce récit dans le domaine dogmatique ? aucune.


 Quelle est leur valeur sur le terrain de l’apostolat et de l’exemple ? Pratiquement aucun, puisque ces expériences banales manifestent en réalité une faiblesse congénitale du psychisme humain confronté à l’impact de l’acte de foi qui seul établit sur le plan humain, le contact réel et incréé entre l’âme et Dieu.
Et à cet égard, c’est bien pour ce motif, que la vie de prière doit (ou devrait) être passée au crible d’un directeur spirituel, et ce en premier lieu dans l’intérêt du fidèle concerné, avant que de s’interroger sur l’improbable  qualité  exemplaire de cette vie de prière pour les autres fidèles !  


 Et quelle est la valeur, sur le plan de l’élévation sur les autels de ces personnes ?
En ce qui concerne Valtorta, ou Rosa, ou Faustine, ou Marthe, même si l’une d’elles s’en tient à des affirmations  ou sentiments orthodoxes (ce qui n’est pas le cas pour un certain Vietnamien Marcel Van) quelle est la valeur, quel est l’intérêt de ces témoignages ? à quoi servent ces exemples anecdotiques de religiosité exacerbée chez certaines femmes ? En quoi raconter urbi et orbi avec la bénédiction des J.Guitton, R.Laurentin, etc. patronnés par les Grands infiltrés de la Secte conciliaire, démontrerait une quelconque « sainteté », un spécial charisme (« prophétique ») une singulière nouvelle révélation « pentecostale » chez ces pauvres égarées sciemment encouragées dans leurs illusions d’élection dès ici-bas (ce qui ne préjuge en rien de leur salut réel) ?   

 

 
Cela ne doit pas nous étonner, car alors que la secte conciliaire claironne partout que sa seule utilité serait de servir, –  à l’instar de la dernière souillon passant après toutes les fausses religions, superstitions et idolâtries actuelles, –  le Genre Humain Libre et Égal, cette secte, en tous ses membres conscients et diaboliques ne sert fondamentalement absolument à rien, enfouie dans le propre tas d’immondices en lequel elle se vante de se vautrer comme une prostituée diabolique, car simplement le monde préfère l’original à la copie.
 
Et le monde possède ses originaux, ses maitres, ses valets politiques, ses médias pervers et n’a nul besoin de grotesques copies. Et même il se paiera bientôt le luxe de persécuter en priorité et avec raffinement, ses propres répugnants complices que sont ces ridicules « copies » humanistes et solidaires » : tels les Bergoglio a Rome , 23 points à Paris,  et Fellay à Écône…
Donc à leur petit niveau, les mystiques conciliaires de cette version douce du 20° siècle serviront de paravent  légitimant prochainement la version dure des futures sorcières mystico-satanistes (et "curettes"…) qui ne vont pas tarder à émerger dans la secte… 
 
    


  MARTIAL,

article publié sur le Catholicapediablog, sous le fil intitulé "le délire sacré envahit l'église Conciliaire" en date du 2 décembre 2013'

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 22:01

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme les fausses mystiques sous forme de visions, de révélations, de mouvements charismatiques, etc., déferlent actuellement dans les milieux catholiques, on peut dire que « le délire sacré » est très en vogue parmi nous. Citons pour seul exemple de nouvelle sibylle, la Mamma Rosa de San Damiano :
ELLE   TRANSMETTAIT     LES  « ORDRES DIVINS »
relatifs à l’envoi de jeunes « en religion ». On assure que des centaines de vocations « tombées du ciel » ont rempli des couvents.
 
 
     1/ L’exemple de la mamma Rosa démontre que dans la nouvelle religion « conciliaire »,  ce qu’il faut appeler chez elle, « la Divinité » (ou le « Mystère », ou « l’Amour Infini », etc., etc.), est connue par l’inconscient, par le subconscient, d’où sont puisées des fables, des informations nouvelles, des images, qui résultent du travail de l’imagination toute-puissante, livrée à elle-même, sans le garde-fou des autres facultés.
Ce travail de l’imagination se nourrit des données historiques et dogmatiques de la Révélation, mais entièrement dévoyées, puisqu’elles sont avilies au niveau de simples symboles exploitables en délire verbal et en transe hypnotique, qui mènent à une exhibition narcissique et au culte de la personnalité de la part des « fidèles » conciliaires assoiffés du merveilleux païen subliminal dans les consciences « modernes ».


      2/ Dans la religion inversée de la secte conciliaire, Dieu n’est plus connu catholiquement dans les facultés nobles du psychisme. Il n’est plus connu par l’acte de volonté du fidèle attestant de la certitude de son intelligence, portant sur la réalité objective, mise au jour par son jugement (intellectuel !) de la transcendance du Dieu créateur exnihilo, Père par le baptême, et Rédempteur par le Saint-Sacrifice. « L’Acte de foi »  qui est la base de la « prière catholique » qui fonde elle-même la sainteté, laquelle démasque cet attrait diabolique pour le merveilleux.   


      3/ La Religion catholique, sa « méthode » si j’ose dire,  et ses instruments humains adéquats, se trouvent ainsi mis entre parenthèse dans le peuple des fidèles,  par les maîtres de la religion d’essence pharisaïque, kabbalistique, maçonnique, en ce qui ces maîtres dissimulés, et de nature noachique, barbare et ensorcelée s’agissant de la masse de leurs créatures avilies. 
 
Or ces maitres respectent en apparence la faculté d’intelligence (à défaut de libres volonté ou jugement) en professant un éclectisme doctrinal. C’est-à-dire en promouvant de grands principes  « d’amour, de liberté, de tolérance, de paix, et de solidarité » censés transcender les singularités culturelles voir même philosophiques des diverses religions. Notamment, c’est pourquoi leurs agents déguisés en « papes » ou « évêques » dans la secte récusent tout syncrétisme dans le dialogue inter-religieux, (ce qui est en partie vrai d’ailleurs !) dans le dessein de mieux voiler  ainsi cet éclectisme. Mais celui-ci est de la plus haute perfidie.


 En effet, simultanément et en réalité s’ils méprisent le new age et les transes vulgaires,  ils récusent tout autant la raison, la volonté, le jugement, et le bon sens, car pour eux la « vérité » qui ne se situe évidemment pas dans l’infra-intellectuel des mamma Rosa, Faustine, Marthe et consorts, ni dans les facultés de « l’intellectuel », se trouve dans le « supra-intellectuel ».  Or c’est par le rite de l’initiation diabolique qu’ils ont accès à ce monde « d’interprétation », monde « SÉPARÉ » (« pharisien ») supérieur, sacré. Ce n’est pas par l’émotion, l’imagination, et encore moins par la raison, mais par le rite symbolique THÉOSOPHIQUE que ces suppôts de Satan et leurs affidés prétendent dominer. Par sa nature symbolique, ce rite d’accès singe la nature réaliste du sacrement catholique. 


 C’est bien pourquoi la secte conciliaire s’est empressée de détruire le Sacre, l’Ordre, la Messe, les Sacrements, et de les remplacer par les délires émotionnels charismatiques, les interprétations imaginaires des hystériques fausses mystiques, et de favoriser dans ce but la propagation de ces diaboliques religiosités. L’exemple a été donné en haut lieu par l’initiation de Wojtyla  aux rites archaïques démoniaques ; cela prouve par  a + b son éclectisme théosophique.  Le ton est désormais donné  par la nouvelle règle des « célébrations festives », par le paganisme des JMJ, et par le narcissisme insupportable de cette ridicule et fausse « joie » qui aurait attendu 2000 années pour éclore enfin dans l’Église. 
S’intégrer au Monde « sous le soleil de Satan », sans savoir ce qu’est « la Joie », pour reprendre les titres de romans de Bernanos.         

 

 

MARTIAL,  article publié sur le Catholicapediablog, fil "le délire sacré envahit l'église Conciliaire" du 2 décembre 2013

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 20:30

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans son entretien de septembre 2013,  au journal italien "La républica",  

 

Bergoglio proclame:

 

"Et moi, je crois en Dieu. Pas dans un Dieu catholique (!!!!), car il n’existe pas de Dieu catholique, il existe un Dieu. Et je crois en Jésus Christ, son incarnation. Jésus est mon maître et mon pasteur, mais Dieu, le Père, Abbà, est la lumière et le Créateur (? Grand Maître de l’Univers ??? franc-Mac le père François ???). Tel est mon Être. Dites-moi, sommes-nous si éloignés l’un de l’autre ? »"

 

que je rapproche de ce qu'il affirme ainsi:

  

"Dieu est lumière qui illumine les ténèbres même s’il ne les dissipe pas, et qu’une étincelle de cette lumière divine est au-dedans de chacun d’entre nous. Dans la lettre que je vous ai écrite, je me souviens vous avoir dit que notre espèce, comme d’autres, s’éteindra mais la lumière de Dieu, elle, ne s’éteindra pas, qui finalement envahira toutes les âmes et alors tout sera dans tous. "

et encore de cela:

 

"chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l’idée qu’il s’en fait"

 

 

Nous devons lui concéder qu'à l'opposé de Ratzinger qui dissimule à l'extrême, à l'instar d'un moderniste classique, sa propre opinion philosophique sous les dehors "d'une religion catholique",  Bergoglio paraît avoir levé pratiquement tous les voiles sur la pensée "religieuse" antichrétienne de l'élite de la secte conciliaire.

 

Ensuite, nous pouvons observer qu'avec lui, le simple curé de base progressiste des années 1960 et 1970 (succédant aux prêtres-ouvriers des années 1950) s'exprime désormais - mais en simple apparence trompeuse - sur la chaire de Rome.

En son langage volontairement simpliste et approximatif, il entend rendre infaillible  une opinion moderniste de la seconde génération:   un modernisme qui ne professe plus l'agnosticisme de la fin du XIX°, mais l'athéisme, (tel que l'annonçait déjà l'encyclique Pascendi),  ni l'immanentisme vital de l'époque, mais un genre de philanthropie  post-moderne. 

S'agissant de ce dernier aspect,  ce  sentiment humain de fraternité le plus instinctif, universel,  et banal est fondamentalement vide ("post-moderne") et en l'espèce,  il use sournoisement du vocabulaire chrétien du Catholicisme et de l'Eglise de "jadis".

Volé par de tels escrocs, ce vocabulaire véhicule dorénavant des notions devenues vides:

En ce sens, que les anciens catholiques ou chrétiens, crédules, niais, et/ou ignares imaginent que leur signification ancienne (catholique) serait toujours d'actualité,

tandis que les néos-païens occidentalisés y  lisent, du fond de l'abîme de péché et d'orgueil où ils ont chû,  la caution éclatante  que le "pape" et les "évêques catholiques" fourniraient à leur apostasie, et à leurs vices narcissiques.

En ce qui concerne le premier aspect, il s'agit d'un crypto-athéisme, car ne serait-ce qu'à cause de la nécessité où est encore la secte conciliaire de donner le change, en continuant à tenir un langage apparement cohérent, religieux, et même "chrétien", il faut bien que Bergoglio et sa mafia épiscopale et théologienne utilise encore les  mots de "Dieu" , de "Jésus" et d'"Eglise", etc. Même si beaucoup sont chassés (en dernier: "pape").

 

Après ces diverses considérations, Voici donc maintenant ce que l'on serait en droit de   

  que les on peut déduire à gros traits des trois citations mentionnées ci-dessus que  Bergolio     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 20:52

 

 

 

 

 

 

 

 

suite de la retranscription du message de Martial.

juillet 20, 2013

 

 

4/ Mais selon les « ricossaniens », qu’il y ait un empêchement momentané, (même s’il prospère  depuis près de 55 ans),  empêchement individualisé, (même s’il touche six « papes potentiels » et des milliers d’évêques virtuels),
mais souverainement délimité par eux, seuls car hors de l’IMBC, il n ya que  « jugement du haut du petit tribunal privé du sédévac totaliter »…)
cela ne ferait que confirmer a contrario, que l’Église continue et continuera d’exister dans les mêmes circonstances qu’avant 1958, et qu’en réalité, (toujours selon la doxa de ces traditionalistes),  que Notre-Seigneur Jésus-Christ, aurait  formellement assuré qu’il existerait toujours des papes et des évêques, non pas des réels, mais seulement des successeurs   »potentiels »  surtout bien visibles et légitimes. 


 5/ Et en fin de compte, pourquoi l’IMBC, à l’instar de ses complices de la F$$PX, et de « La Question » sont ils convaincus qu’un anti-chrétien serait un légitime pape ou évêque virtuel ? Parce qu’ils sont convaincus que Notre Divin Maître ne se serait incarné que pour fonder une société juridique avant toutes choses. Et ce ne serait que dans le cadre de cette société, qu’il aurait ensuite racheté l’humanité.
Or en effet,  une société juridique doit avoir des représentants personnes physiques coûte que coûte, leur personne ne comptant pas, seule leur visibilité importe ; quant à leur responsabilité, on règlera ça dans les arrières-loges ou cuisines….
Ainsi ce sont ces libéraux-conservateurs  qui ont fourni  une des principales armes des modernistes du 1er 20° siècle. L’Eglise-Peuple de Dieu, et l’ Eglise-Communion ont été des réactions contre « l’Eglise-société juridique »  auxquels ils ont caricaturé l’Église et l’on détruit de fond en comble… Merci alors à l’IMBC de venir prêter main-forte, par ce biais ridicule et scandaleux, aux fossoyeurs du Corps du Christ !

 

 

 

 

 

Noter bien:

l'IMBC est l'institut de la Mère du Bon Conseil, siège et séminaire des catholiques ricossaniens propageant l'idée que l'Eglise catholique serait dotée d'un clergé  devenu "matériel" (comprendre potentiel) depuis la Révolution conciliaire.  

 

 

 

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 20:41

 

 

 

 

 

 

 

 

Retranscription ci-après

du post de Martial sur le Catholicapediablog, en date du 20 juillet 2013, 

dans le fil de discussion relatif à l'article "Inspiration kantienne du Guérardisme?"
  • L’argumentation de « catholique » [un intervenant guérardien]  est de même nature que celle de tous les traditionalistes et ce, depuis des décennies.

  •  
    1/ Aux motifs qui se tirent de  l’expérience réelle, et de la démonstration logique, il est opposé l’Argument (avec majuscule) d’autorité (avec minuscule). Seuls les clercs, et les fidèles qui leur font allégeance aveugle, savent La Solution.
  •  
    2/ Seule l’Autorité en tant que Hiérarchique, et non en tant que Magistérielle, déciderait de qui est ontologiquement catholique (sic), ou ne l’est pas. Si l’Autorité Hiérarchique n’est exercée que par des ennemis de l’Église, ou par des titulaires « potentiels », « il faudrait attendre Godot », (cf. l’auteur cité dans la disputatio) jusqu’à la fin du monde,  et IL FAUDRAIT proclamer en face de tous les fidèles que Bergogoglio dit François est le légitime pape potentiel… Pourquoi ? parce que ce serait écrit dans la théologie thomiste, mais non dans le catéchisme pour les simplets de la populace catholique… D’ailleurs « matérialiter » serait intraduisible ; et « potentiel » serait inapproprié (SIC !) d’après JP Bontemps ; on nous dit que nous ne sommes pas chimiste, et donc que nous ne pouvons connaitre le travail du chimiste ; mais nous répondons que le chimiste sérieux et honnête, lui, sait traduire le terme technique d’une substance en son sens obvie ou courant…

  • 3/ Cependant contrairement à ce principe qu’ils proclament à l’intention des autres,  certains clercs, et leurs fidèles qui leur font allégeance, s’autorisent motu proprio de trancher ce qui constituerait, le cas échéant, « un empêchement formel » : telle disposition psychologique  (!) ou telle ou telle irrégularité procédurale en matière d’infaillibilité (cf. les contestations à ce sujet, entre les chapelles ralliées ou en cours de ralliement, etc.). Les guérardiens actuels s’arrogent ainsi le droit d’interpréter la future décision de l’Autorité,  qui doit être un jour « restaurée » (comme en 1814, ou comme leur monarque libéral…), et prétendent donc que dorénavant, une lignée de papes et d’évêques  potentiels se succéderont sine die.

  • Si cette opinion pouvait être valable jusqu’à l’élection de Wojtila, il en va autrement aujourd’hui. Avec le culte païen de la personnalité des pseudo-papes, saints, ou modèles conciliaires, avec l’esprit maçonnique, et la dépravation mondialiste de leur secte ;
    Et en gardant en mémoire les vicissitudes de l’Église et des derniers trônes catholiques, au 19 et 20° s, et ayant à l’esprit toutes les prévisions des auteurs antilibéraux, mais aussi leur vue surnaturelle,  le tout confirmé par les révélations de la Très Sainte Vierge, alors le diagnostic de la situation que fait encore l’Institut de la Mère du Bon Conseil (IMBC)  est radicalement  inepte, faux, trompeur, scandaleux.
  •  
    Enfermés dans des schémas mentaux surannés, intoxiqués de libéralisme philosophique, dupes d’une religiosité qui procède plus de la caricature sulpicienne que de celle du martyre, ils sont à mille lieux de comprendre tout simplement que l’église Conciliaire n’a pas le même Dieu que l’Église catholique, que pour elle, le catholique n’est pas un réel enfant de Dieu ;  discerne-t-elle encore en lui, une créature de Dieu (voir en 2013,  la trahison pratique de la morale naturelle même),  puisque cela supposerait qu’elle crût en un Dieu transcendant ?
    Oui nous sommes à mille lieux du point de détail de « Dignitatis.Humanae »,  infailliblement ou failliblement, hors ou dans, la Révélation, comme certains pouvaient avoir l’excuse de le penser dans les années 1960.
  • En conséquence si cette vérité aveuglante que seuls ces traditionalistes comprennent pas,  et si au contraire, les observateurs non-chrétiens, l’ont comprise depuis longtemps (avec impartialité,  indifférence, ou joie mauvaise) serait-ce la preuve que l’irrationnel aurait abattu sa griffe diabolique jusque dans la si subtile intelligence de ces purs et durs parangons du thomisme plus thomiste que thomiste ?

à SUIVRE 

 

 

 

 

 

 

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