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16 novembre 2016 3 16 /11 /novembre /2016 12:41

A propos de l'herméneutique de la continuité qui constituait le piège de choix tendu par Benoit XVI aux traditionalistes.

"Il me semble que nous, chrétiens, nous devons nous rendre toujours plus compte de notre affinité intérieure avec le judaïsme. Pour les chrétiens, il ne peut y avoir une rupture dans l'événement du salut. Le salut vient justement des juifs." (discours prononcé à la synagogue de Berlin en septembre 2011).
 

L'abbé josef ratzinger applique comme partout sa rhétorique habituelle et usée jusqu'à la corde : il dénonce les aveugles, pour faire l'éloge des borgnes !
Ici , il dénonce ceux qui n'auraient pas compris que le judaisme biblique n'était pas seulement une religion aux rites étouffants ...
Mais la belle affaire !

En effet, ceci étant dit et expédié, il s'empresse aussitôt de faire tomber Notre Seigneur Jésus Christ au niveau du simple raqua (maître d'école primaire des enfants de 5 à 10 ans s'aphabétisant au moyen de l'étude du texte du "Pentateuque" ou du baal miqra (maître de l'Ecriture Sainte)qui était l'équivalent chez ceux qui n'étaient pas membres de la toute puissante secte pharisienne de l'époque, du Hakham , le maitre de l'INTERPRETATION d'une part, et de l'interprétation de quoi ? de la LOI ORALE (michna) d'autre part, c'est à dire de l'ancêtre historique du "modernisme catholique" de notre temps !
Le hakam est le maitre de l'HERMENEUTIQUE ( "herméneutique de la continuité" nous dit simili-rabbi Yosef...! )
s'appliquant à la loi orale apprise entre 10 et 13 ans, au bet ha talmud, et concernent les bar mitzva entre 15 et 18 ans.
Or dans l'étude talmoud) de la loi orale (michena) il était interdit aux disciples des maitres pharisiens (hakhamim) de faire des interprétations (midraschim ) en dehors des interprétations précédentes (la tradition ) qui seront mises par écrit dans les Deux talmudim (Babyone et Jérusalem)
Certains francs-tireurs , donc ba al Miqra osaient donc interpréter en remontant directement au Texte des 5 Livres de la Tora écrite !!!
les hérétiques chrétiens et les protestants puis aujourd'hui les néos chrétiens postmodernes prétendent faire de même

Voilà à quoi ratzinger réduit, ravale et limite son Maître dont il se fait passer pour le vicaire en robe "tradi" froufroutante!
Le divin discours sur la montagne qui est un enseignement sur la transformation ontologique des fidèles par la Foi qui s'incarne en eux, est corrompu au niveau d'une petite doctrine de sagesse digne du dalaI lama (qu'il va embrasser à Assise dans quelques jours) se bornant à imaginer de nouvelles possibilités de sagesse cachées dans la Torah écrite dans les 5 livres, laquelle est donc présentée comme le thème fondamentale tandis que les belles pensées de "Jésus" comme il dit ne serait qu'une belle variation parmi d'autres, sur la tradition juive éternelle.

Il oublie comme ses frères ainés dans sa croyance néo talmudique postmoderne qui ne s'en tiennent qu'au talmud qui ne se réfère qu'au Pentateuque, l'enseignement des prophètes dont Jérémie chapitre 31 : le discours sur la montagne est le résultat du fait que la nouvelle alliance a incarné la vie divine dans la volonté et l'intelligence du chrétien: c'est cela le sens de l'inscrire sur "le coeur" cette "loi" divine a l'opposé absolu avec le kabbalo talmudisme des frères ainés talmudiques et frères cadets noachides !
 

Citation :
31 Voici que des jours viennent, - oracle de Yahweh, où je concluerai avec la maison d'Israël et avec la maison de Juda une alliance nouvelle,
32 non comme l'alliance que je conclus avec leurs pères, le jour où je les pris par la main pour les faire sortir du pays d'Egypte, alliance qu'eux ont rompue, quoique je fusse leur époux.
33 Car voici l'alliance que je ferai avec la maison d'Israël, après ces jours-là, - oracle de Yahweh: Je mettrai ma loi au dedans d'eux, et je l'écrirai sur leur cœur, et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.
34 Un homme n'enseignera plus son prochain, ni un homme son frère, en disant: "Connaissez Yahweh!" Car ils me connaîtront tous, depuis les petits jusqu'aux grands, - oracle de Yahweh. Car je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché

.



 

Citation :
Là où le conflit de Jésus avec le Judaïsme de son temps est vu de manière superficielle comme un détachement de l’Ancienne Alliance, il finit par être réduit à une idée de libération qui mésinterprète la Torah comme étant seulement l’observance servile de rites et de prescriptions extérieures. Mais de fait, le discours sur la Montagne n’abolit pas la Loi mosaïque, mais il révèle ses possibilités cachées et fait émerger de nouvelles exigences. Il nous renvoie au fondement le plus profond de l’agir humain, au cœur, où l’homme choisit entre le pur et l’impur, où se développent la foi, l’espérance et l’amour.

Le message d’espérance que les livres de la Bible hébraïque et de l’Ancien testament chrétien transmettent, a été assimilé et développé par des juifs et des chrétiens de diverses façons
 
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31 janvier 2016 7 31 /01 /janvier /2016 17:07

~~ Martial lien permanent janvier 12, 2016 commentaire publié sur le CATHOLICAPEDIOBLOG sous l'article intitulé "Chaos Jorge réalise un coup fumant"

citation de l'intervenant Charles « ils sont déjà entrés dans la Vérité…et puis…pff !…ils en sont ressortis par une porte dérobée ! Porte qui les conduit, mine de rien, vers une voie sans issue ! Qui des conciliaires ou des tradis sont les plus à plaindre ? »

Les soixante années écoulées permettent de comprendre combien l’actuel aveuglement en cours de châtiment touche les privilégiés sociologiques, convertis de la onzième heure, érigés en quart-de-savants, guidés par des demi-savants, et adultérant la vie intérieure à l’ordre politique. Il faut distinguer le prise de conscience temporelle de l’émergence progressive de la secte pseudo-catholique, de la compréhension de la différence instantanée de nature (1) entre la secte et L’Église, compréhension qui induit nécessairement alors l’intelligence du phénomène de l’éclipse.

C’est parce que cette émergence est à dessein lente, fourbe, et masquée, sous les multiples leurres dissolvants-coagulants, et réciproquement coagulants-dissolvants, (2) qu’il est très difficile, si on ne consent pas à brûler ce que l’on a adoré (sur les différents plans), d’acquérir la certitude de la différence essentielle qui existe entre la secte et l’Église. Comme l’émergence s’est d’abord et un peu dévoilée très partiellement dans le domaine de la doctrine (cf. "pacem in terris", puis les « trois erreurs typiques » des textes de V², etc.), il est admissible que beaucoup d’opposants aient évoqué, dès les débuts, seulement « l’hérésie », le « schisme », voire « l’apostasie », etc…considérant que le corps du délit se réduisait à cela.

Puis, lorsque la secte s’est un peu plus démasquée s’agissant du N.O.M., des sacrements et des sacres, on peut comprendre aussi que durant les années 1970, la défense de la Messe ait monopolisé l’attention des résistants, et que s’ajoutant aux erreurs « conciliaires » elle justifiât le refus d’obéir aux « papes », sur un plan uniquement « pratique ».

Ensuite, lorsque elle promulgue un nouveau Code Constituant de sa propre structure intruse, marrane, et déguisée, dans les années 1980, elle parvient à un point de non-retour en réalité, mais qui peut expliquer encore l’attitude écartelée et pathétique de Mgr Lefebvre (lequel disait que le code 1983 était pire que le NOM).

Cependant, depuis les années 90, 2000, et 10 maintenant, comment ne pas voir le déroulement parfait du processus émanant de l’Adversaire ? Depuis le milieu du siècle dernier, l’infiltration concernait globalement des « hérétiques », des blasphémateurs et des schismatiques, etc…car ces qualificatifs se rapportent à l’Église Catholique, dont la majorité des hiérarques certes très libéraux étaient encore catholiques de bonne volonté. Mais à partir de 1960 les groupes réducteurs se sont manifestés au conciliabule de Vatican d’Eux, puis les noyaux dirigeants se sont imposés après 1968 dans les « conférences épiscopales », et ont coopté dès lors les nouveaux évêques, « hérétiques » selon l’Église en ordre. Or depuis cette époque, au moins une seconde génération a été cooptée par cette première génération d’hérétiques. Et l’immense majorité de ce corps épiscopal de la seconde génération (ainsi que les « papes conciliaires ») n’est plus justiciable de tels qualificatifs tout simplement parce qu’ils n’ont jamais été « antérieurement » catholiques.

Il est donc vain aujourd’hui de s’épuiser à polémiquer avec ceux qui se font les inexcusables perroquets en 2016 de nos frères aînés "traditionalistes» de 1960; ces derniers se trouvaient eux, à l’orée de l’entreprise d’émergence de cette immonde secte éclipsant par vol, expropriation, violence, razzia, la doctrine, le culte, et la Constitution de l’Église.

C’est une voie théologique sans issue que de tâcher de qualifier au moyen des critères théologiques, canoniques, de l’Église, la religion sectaire qui occupe Rome, puisqu’elle lui est totalement étrangère, sauf sous la seule apparence du rite du baptême, lequel ne peut jamais, en tout état de cause, être dissocié de la foi telle qu’elle est manifestée extérieurement (au sens du droit canon).

Cette religion sectaire comprend d’abord une doctrine religieuse, « la nouvelle religion » disait Mgr Lefebvre. Mais cette doctrine n’a plus rien à voir avec le modernisme défini par SS Saint Pie X. Elle est fondée notamment sur la philosophie structuraliste appliquée à l’Écriture Sainte, dynamitant toute la vérité historique des origines surnaturelles de l’Église, et enseignée dans tous les séminaires sous l’autorité des « évêques » de la secte depuis V². Elle l’est aussi sur le freudisme (la déculpabilisation intégrale « compassionnelle ») et le marxisme (la secte ONG de Bergoglio). À l’instar du même procédé intellectuel, elle fait le vide, annihile les défenses immunitaires et prépare l’immense résignation à l’ère de la néo-barbarie transhumaine, à la soumission de laquelle « laudato si » a apporté sa perfide petite pierre.

Elle comporte encore des rites religieux qui évoluent vers ceux de la Synagogue puisque en vertu de leur « sacerdoce commun » les baptisés célèbreront bientôt officiellement « l’eucharistie » autour d’une table et « d’un pot de l’amitié ». Elle comprend un sacré qui n’est qu’une déclinaison humble et respectueuse des autres et de ses « frères ainés » d’un Sacré primordial. Le tradis attachés au mysticisme — naturaliste mais sous sémantique « catholique » — auront toute leur place, de choix, dans cette idolâtrie de la Tradition première, en se ralliant à Bergoglio !

Enfin elle comprend une organisation, un clergé, un droit, dont les simagrées singent, bafouent, ridiculisent, blasphèmes l’Église en l’éclipsant.

Donc, cette nouvelle institution religieuse, a émergé, comme la secte pharisienne a émergé au tournant de la naissance de N.S. J.C., en évinçant la religion hébraïque qui préfigurait provisoirement l’Église, et en remplaçant ici l’Église dans son institution, sa constitution, sa doctrine, sa morale, ses rites, et son apostolat. Mais elle a émergé en prétendant évincer irréversiblement l’Église éternelle. Depuis JP², la secte s’est emparée de tous les verrous théologiques moraux canoniques de l’Église catholique pour installer sa structure, son autorité propre, sa doctrine, ses rites, à l’imitation de la Synagogue, qui au premier siècle s’est appropriée la légitimité, l’autorité, l’enseignement et les rites sur les membres du peuple juif qui n’ont pas voulu reconnaître le Messie. Or nous savons le jugement que ce dernier a porté sur cette nouvelle religion-institution et doctrine religieuse : « vos traditions humaines », « d’enfants du diable, père du mensonge ».

Ce grave châtiment été annoncé par l’Ancien Testament, par Notre Seigneur Jésus-Christ, par les Pères de l’Église, par quantité de saints et d’autorités de l’Église.

Il a été préfiguré par l’émergence de la religion post-pharisienne.

Mais cette évolution, cette dérive en nouvelle émergence, présentement châtiée, été aussi expliquée par nombre de philosophes et d’historiens ennemis acharnés de l’Église ces derniers siècles, (cf. religion « naturelle et raisonnable », religion pure, religion universelle, noachisme, etc.).

Elle est fondée sur des options métaphysiques permanentes (rien de nouveau sous le soleil) vieilles comme l’humanité qui comprennent les voies sans issues du recours à la tradition « pérennialiste ». Elle est appelée, favorisée et exaltée par les besoins, qui exigent une prostitution absolue de ses adeptes (voir la néo F$$PX), d’une instauration triomphale de la Babylone des Lumières.

De même que la secte post-pharisienne est un leurre du Nouvel Israël qu’est l’Église, de même la secte postconciliaire est un leurre de l’Église. Si la secte est objectivement et visiblement un stratagème (juridique) , organisant une machination, (doctrinale) mettant en scène des leurres (rituels), alors

c’est que ses maitres en coulisses savent que l’Église demeure derrière, et qu’ils doivent la parodier.

L’Église demeure visible, pour les fidèles ignorants de bonne volonté la secte est l’Église putative. L’Église demeure visible pour les catholiques semper idem, car ils savent qu’elle est éclipsée par cet « astre » satanique.

Mais pour ceux qui, connaissant ses crimes, mais la reconnaissent comme « légitime », ou « physique », « tous les fauteurs et imitateurs du clergé leur seront arrachés et seront séparés comme un mur qu’on bat en ruine, où on ne laisse pas pierre sur pierre, et aucune pierre ne sera jointe à une autre avec le ciment, afin que ma miséricorde ne vienne jamais sur eux, attendu que mon amour ne les a jamais échauffés, et il ne leur édifiera jamais une demeure dans le ciel ; mais s’étant privés de tout bien, ils seront tourmentés avec leur chef ». (Sainte Brigitte).

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 17:04

Commentaire de Luernos, en date du 26 novembre 2010

~~Mgr l'évêque d'Avignon déclarait, fin 2010, "que vers 2030 il était prêt à vivre dans un Hexagone à une majorité musulmane"

Il craint peut-être que son double ou triple jeu d'épiscope-de-la-Secte-qui-est-en-Hexagone, visant à se dire ami des maçons-sionistes-musulmans réunis, risque de ne pas être aussi rentable qu'il ne l'espère... La programmation de Pyke semble être le plan "C" pris en compte et voulu en dernier ressort, uniquement du saint des saints de dirigeants, qui prendront leur temps.

Pour les politiciens de base, sans doute existent-ils des "plans B". En ce qui concerne le plan A, qui est celui officieux , des gestionnaires (ex-dirigeants politiques) des sociétés occidentales (ex Etats-Nations Européens de jadis) et singulièrement de l'Hexagone : Les confidences des milieux informés (comme disait Coluche) , et l'idée générale qui préside aux décisions politiiques nous apprennent qu'il est le suivant : Ainsi que l'illustre ce père Cattenoz, qui en tant qu''évêque" est au fait de ce genre d'informations qui courent dans le monde de l'Administration, le plan A est celui d'un modèle politico-religieux de type kémalo-tunisien. C'est à dire une soumisison au matérialisme moderne et une neutralité religieuse de façade, verbale et affichée, qui ira de pair avec un islam généralisé, omniprésent, mais adapté à la mollesse occidentale contemporaine.

Conformément aux sentiments mahométans, dès que les 51 % seront franchis (dans 20 ans environs compte tenu de la pyramide des âges et des générations) les coutumes islamiques sont appliquées de façon douce et accomodée à une certaine "neutralité": les jours de fêtes et dimanches chrétiens auront disparu en pratique dpeuis longtemps, les jours de fêtes islamiques et le ramadan sont appliqués par la majorité de la population, le hallal-casher sera entré dans les moeurs depuis longtemps, les diverses coutumes seront entrée en vigueur, les "conversions" par mariage seront totalement banalisées.

Aux termes de la Constitution rénovée, L'islam sera la religion officielle de la majorité des français, comme l'était le Catholicisme (il y a près de deux siècles déjà ! )à l'époque du roi Louis-Philippe ; les principes et droits républicains resteront verbaux (comme les mots chrétiens dans la secte conciliaire); les derniers conciliaires auront la même liberté que celle des adeptes actuels des sectes millénaristes scientologues et jéhovistes... Ce que l'on peut souhaiter c'est que les dhimmis de la secte, qui ont commencé leur pastorale islamophile dans les années 1950, de manière très voyante surtout parmi les prêtres-ouvriers, c'est à dire que ces dhimmis qui auront un siècle d'avance, en appelant de leurs voeux, une société de l'Autre, n'aient pas trop à connaître le sort de Christian de Chergé, à Tibhirine, un autre promoteur de l'indifférentisme religieux et de l'unification syncréto-soufie...

Bien que l'on ne puisse rien contre la justice immanente, puisque, lorsqu'il a été mis à la porte, le Bon Dieu Règne désormais en laissant s'accomplir les châtiments humains!

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 16:56

Suite du commentaire en date du 22 novembre 2010, de LUERNOS,

~~Malgré les apparences anodines des dires de Josefratzinger, cette affaire du préservatif est fondamentale. Il suffit de lire et écouter les réactions colossales, quelles que soient leurs nuances, des médias. Communément, et aussi bien pour les non-chrétiens que pour les tradis, la "religion" dans une société d'athéisme militant, "laïciste", ce n'est pratiquement que de la morale sexuelle, et quelques oeuvres caritatives souvent officielles et bien standardisées. Par parenthèse, les adeptes enthousiastes de la secte conciliaire,quant à eux, sont convaincus depuis belle lurette que le mépris de la morale ordinaire est une preuve de maturité "à hauteur d'homme et à visage humain" (cf. Rouet) et surtout une preuve d'amour, vous savez cet amour qui s'origine dans l'éros, et qui nous convainc que la victime de votre vice apprend ainsi l'amour, il faudrait subir le trop grand amour du pervers dont on est victime...Vous voyez ce que je veux dire.

Tout est permis, si c'est fait "par amour" : le renversement diabolique enseigné par la secte et ses soeurs protestantes! Alors avec sa grâce éléphantesque dans un magasin de porcelaine, Josefratzinger envoie le signal codé, avec son style habituel de ne pas y toucher...

Il suffit donc de lire les réactions des conciliaires: Exemple le "Mgr" Di Falco a estimé que « si on n'arrive pas à vivre la situation telle qu'il la propose on ne doit être ni criminel, ni suicidaire et on doit utiliser le préservatif. Il a précisé que, sur le terrain, les religieux incitent, si nécessaire, à utiliser le préservatif pour ne pas se mettre en danger ou mettre en danger des partenaires ». « 0n n'a jamais dit autre chose depuis dix ans" a-t-il ajouté. Encore une fois, personne n'a besoin de Di Falco et de ses pareils pour savoir qu'on ne doit être ni criminel ni suicidaire etc...! Pour qui se prennent-ils ces parasites, ces inutiles, ces imposteurs ? La conscience morale naturelle le sait avant eux, et les lois pénales s'appliquent aussi à ce sujet (comme à celui de la pédophilie, comme ils l'oublient!). C'est ma réponse à l'objection que vous [un contradicteur) évoquez: "il veut sauver des vies!" Vous parlez d'une originalité, une obligation qui incombe à toute créature humaine, il faudrait que ce soit murmuré par un pape fétichiste des beaux atours pour ne pas l'oublier ?! Il a pour seule utilité de conduire l'âme et le corps au Ciel!

Quant aux réactions des tradis qu'on peut lire sur leur Forum, Observons tout de même parmi eux, - des gens droits et honnêtes et ayant les pieds sur terre, qui ont compris " le sens profond et l'impact de ce qu'ils pensent n'être encore qu'une "erreur lamentable" de leur "pape" chéri sans qui leur sert de dernière "boussole" tout rouillée qu'elle soit, - et ceux, qui comme sur le blog la Question, s'évertueront toujours à trouver des motifs intellectuels, moraux, spirituels pour continur à se faire l'avocat de leur diable. L'on dirait que leur intérêt policiticien d'avoir un pape-plus-que-boussole, leur ferait oublier - d'un côté, que en cette affaire, Ratzinger quitte son champ de compétence qui est celui d'affirmer des principes conformément à l'enseignement infaillible bimillénaire, , et non de prêcher de la casuistique, ce qui relève du domaine inférieur de la morale des confesseurs; - de l'autre, qu'il professe une morale agnostique de l'intention, digne d'Emmanuel Kant, en lui affublant quelques mots "chrétiens" et le ton miève, mou, et hypocrite, de sa secte!

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17 janvier 2016 7 17 /01 /janvier /2016 16:33

commentaire de LUERNOS en date du 22 novembre 2010

~~Nous savions qu'il n'était pas catholique; mais ici, il accepte le préservatif, c'est-à-dire la débauche, la dépravation, c'est à dire en un mot le vice, et il mépris donc la vertu, alors qu'il prétendait participer encore aux voix hypocrites des conservateurs-libéraux qui proclament défendre la simple morale naturelle, et non religieuse. Exit la lutte contre le Crime peccamineux. Exit la lutte contre le Vice naturel. Il n'est plus un moraliste naturel. Car quand on sait ce qu'il sait, quand on a étudié ce qu'il a étudié, quand on occupe le poste qu'il occupe, quand on est entouré comme il est entouré, l'on est nécessairement un communicant de très haut vol, et l'on a assimilé toutes les roueries de la mise en scène, de la mise en condition, et de l'impact exactement calculé qu'aura la médiatisation de ses "confidences". Son intention est claire et merveilleusement étudiée. Et ce contrairement aux choeurs des pleureuses "tradis" qui trouvent encore des excuses à ce pauvre Benoit si catholique et persécuté...

De fait, pour comprendre sa façon de faire sur ce point particulièrement sensible , l' on peut se référer au précédent du vote de la loi Simone Veil en 1974. Il faut relire l'exposé des motifs de cette loi, et le principe entrant en matière de la loi. "La vie doit être respectée depuis le jour de la conception"...mais...bla..bla...la situation "exceptionalissime" de détresse extrémissisme, qui heurte le coeur incommensurablement compassionnel de la bonne dame Veil, IMPOSE, et de manière TRAGIQUE, de prévoir.... une exception dans l'exception de l'exception... De telle sorte qu'à peine trente ans après ( soit une génération), l'Avortement jusqu'à près de 9 mois est devenu UN DROIT INALIENABLE ET INHERENT A DIGNITE ESSENTIELLE DE LA PERSONNE HUMAINE! D'ailleurs, et en incidente, remarquons qu'il n'y a encore que les aveugles volontaires qui ne voient pas qu'une pastorale officieuse et officielle est en place pour les gays, que les divorcés sont bénis, que les crypto-prêtresses tournent autour des tables à repasser lors des célébrations "éxultantes" , ETC...

En conséquence : A genèse similaire, l'on peut prédire un destin identique ! Dans une génération, la dépravation universelle sera d'un côté légalisée, et de l'autre recommandée par la médecine ! Le monde a besoin d'un faux pape docile, nous le savions aussi, mais les aveugles volontaires et involontaires catholiques n'ont pas besoin d'un "people" qui joint sa voix molle de fausset aux voix tonitruantes des Démons de la luxure, de l'orgueil et de la cupidité, et qui règnent sur le monde, par ces trois voies dénoncées par Monseigneur Jean-Joseph GAUME !

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15 janvier 2016 5 15 /01 /janvier /2016 18:41

~~Charles lien permanent sur le catholicapediablog , sous l'article "la maison battue par les vents" de Malachi Martin, article du 4 décembre 5, 2015, écrit le 5 décembre notamment

«la science a des limites (...) les sectateurs du nouveau catholicisme, EUX, n’en connaissent pas. Dois-je lever le voile sur l’un de leurs grands secrets ? L’Homme est un dieu, mais en perpétuel devenir »……

réponse faite par Martial, le 5 décembre 2015:

Cher Charles, il est curieux qu’aujourd’hui j’ai réfléchi sur le même thème que celui que vous évoquez là. Je me disais :

la philosophie des Lumières a inventé le culte de l’Homme (avec ses prétendus « droits ») ; cela a jeté les bases d’un subconscient collectif d’une divinisation abstraite et universelle.

Plus d’un siècle après, Nietzsche a eu l’idée du Surhomme, qui est un mélange de démesure païenne et d’esthétique hédoniste, ayant lancé l’idée, aussi bien chez les anarchistes que chez les vulgaires zombies post-modernes, d’une divinisation individualiste.

Et Depuis le tournant 2000, la philosophie du trans-humanisme met au jour officiellement le concept d’une divinisation individualiste concrète, c’est à dire l’« Homme augmenté », mais qui sera réservé à quelques hautes sphères. Le « vil troupeau » d’Épicure des temps démocratiques aura donc servi de chair à canon, et maintenant de chair à laboratoires, à l’édification du Grand-Œuvre.

« il fallait absolument garder la structure institutionnelle de l’Église intacte, ou presque » : Leurrer pour édifier le Grand-Œuvre.

Et je pense qu’il ne conviendrait plus de qualifier l’ONG, et sa superstition doctrinale, qui occupent Rome, de « conciliaire », terme qui me semble dépassé, et ni de « moderniste », attribut qui n’est qu’un des multiples éléments — porté à son paroxysme d’ailleurs —, du système religieux mis en place.

Une expression du type « Organisation Pastorale Néo-conciliaire » me semblerait approcher bien davantage du réel. Par ailleurs, comme je le disais il y a quelques semaines à Pierre Legrand, il ne faut pas négliger non plus le droit, puisque « la structure institutionnelle » donne l’apparence de demeurer intacte. Alors, nous attendions des clercs qu’ils prennent enfin à bras le corps le problème (*), et définissent la situation de l’Église face au leurre « assis à Rome ». Mais rien ne vient.

Or cela ne pourrait être éclairci que par le concours singulier de la philosophie du droit en général d’abord, de l’histoire du Droit canon en particulier ensuite, et de la théologie, enfin confrontée (via l’outil philosophique) au nouveau réel chaotique de l’heure présente, dont beaucoup paraissent désastreusement inconscients. Si Dieu le veut !

~~(*NOTE) le sulfureux abbé de Tanoüarn, (et qui s’en flatte) disait fort pertinemment - cependant - sur Radio Courtoisie récemment, que le savoir, relatif à tel ou tel sujet, n’était pas le produit de la seule érudition, mais le fruit de l’érudition d’une part, (connaissance technique du sujet) et de la culture (connaissance des autres disciplines voisines de celle du sujet concerné) d’autre part. Or nous avons affaire le plus souvent à des érudits peu pénétrants, quasiment autodidactes, totalement dénués de toute formation intellectuelle drastique et rigoureuse, et, — en dehors de cette technicité du niveau au mieux de 2ième cycle universitaire —, relativement incultes… (hormis une connaissance et des références classiques en français !).

A SUIVRE

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4 janvier 2016 1 04 /01 /janvier /2016 22:57

Flash info de l'ETAT ISLAMIQUE / communiqué sur l'attaque bénie de Paris contre la France croisée, en date du 2 safar 1437 (14/11/2015) / quelques réflexions publiée sur le catholicapediablog, sous l'article "un appel aux vivants en faveur des morts" (en date du 13 novembre 2015)

~~Martial lien permanent, message en date de novembre 15, 2015

Pour tenter de comprendre sans trop se tromper, la déclaration de l’EI, il faudrait parvenir à démêler plusieurs niveaux d’idées et de sentiments et sous plusieurs aspects des événements. Je me contente de faire part à brûle-pourpoint de brèves remarques, qui sont non exhaustives et formulées sous toutes réserves dans une affaire aussi complexe.

1. En ce qui concerne la religion musulmane, il n’existe pas d’orthodoxie dans l’herméneutique de ses Livres. Ainsi l’interprétation littérale du texte (« fondamentalisme ») peut être légitime ; donc c’est elle qui animerait les dirigeants, non infiltrés, de l’EI, et qui en ce sens "a tout à voir" avec l'Islam, malgré les dénégations officielles. L’interprétation prudente (« moyenne ») appartient aux musulmans « traditionnels ». Quant à l’interprétation « symboliste » (« moderniste »), elle relève de celle de l’islam voulu par la république.

2. Les terroristes en question sont des produits de synthèse issus de la mixité entre la post-modernité (via les maillons faibles de la société occidentale actuelle: délinquants, drogués, métissés sociaux, marginaux etc.) et cet islam fondamentaliste (issu d’un néo-rigorisme doctrinal wahabite récent et lui-même artificiel) dans la doctrine, et revêtant une apparence « traditionnelle » dans la piété, en même temps, (d’où l’ambiguïté délicate à briser, lorsqu’il s’agit de reconstituer les profils des terroristes).

3. Le premier niveau d’hostilité contre l’Europe, et la France en particulier (il faut frapper à la tête l’ennemi) procède de l’exclusivisme conquérant inhérent à la doctrine mahométane, depuis son origine. C’est pourquoi les orientalistes européens du siècle dernier, d’esprit maçonnique et haïssant le christianisme, encourent une responsabilité redoutable dans ce qui survient aujourd’hui, en ayant prétendu avec une rare impudence,que le monde arabo-musulman était supérieur à la Chrétienté, et injustement persécuté par elle !

4. Ensuite, l’aversion pour les pseudos « croisés » résulte aussi de la haine intellectuelle, spirituelle, et politique vouée à la Chrétienté, des calomnies antichrétiennes, du révisionnisme historique, qui sont tous enseignés et pratiqués par l’élite politique de l’« occident » depuis deux siècles jusqu’à ce soir, tant envers sa propre piétaille lobotomisée, qu’envers les élites et les peuples musulmans.

5. De plus, si les Français confondent la France réelle (éclipsée) avec l’Anti-France (son antithèse radicale) qui se dissimule sous le leurre d’une république dite « française », qui leur semble Française au sens réel, et qui semble compatible avec toutes les origines, religions et idéologies allogènes, tant à leurs propres yeux hyper-libéraux, qu’aux yeux des (toujours) nouveaux citoyens de ladite république, alors combien plus, les arabo-musulmans en général, et l’EI et leurs tueurs, peuvent-ils sombrer eux-mêmes dans un amalgame entre la « France de la république et de ses valeurs » d’un côté, et la France réelle (son peuple celto-gaulois, sa culture grecque, sa langue et son droit latins, sa religion catholique) éclipsée, d’où jaillit un nouveau niveau d’hostilité combien puissant !

6. Enfin, c’est la république française, en vertu de ses valeurs, lesquelles varient et même se contredisent au fil des numéros de "républiques", qui a colonisé, qui a agi au proche-orient au début du siècle dernier, et qui a agi dernièrement depuis 25 ans jusqu’à aujourd’hui, avec les fruits que l’on sait, c’est elle qui a proclamé Charlie comme le cœur de ses valeurs, dans leur dernière mouture de circonstance, qui vient de déclarer la guerre à EI. Alors, l’animosité vient de franchir le seul décisif.

«Ville qui porte la bannière de la croix » lit-on sur ce communiqué: Mais qui est responsable d’une si monstrueuse confusion entre la capitale des abominations, Babylone hexagonale, et la Croix ? Les « citoyens français » n’ont absolument plus aucun rapport, depuis leur république française, avec les « croisés ». C’est bien en tant que citoyens républicains qu’ils sont apostats, mécréants, idolâtres, insulteurs du Prophète de l’Islam, etc. S’ils étaient restés chrétiens, les arabo-musulmans ne pourraient leur reprocher qu’une chose : être mécréants et associateurs, selon eux. ET face à la force morale, politique, et matérielle, de la France Royale Catholique ayant pour Roi Notre Seigneur Jésus Christ, — donc une France qui craint moins la mort que ne la craignent les musulmans eux-mêmes ! — ils se seraient bien gardés, par simple prudence de décréter, ce qui nécessite d’ailleurs l’ordre d’un chef d’État musulman et légitime, de décréter une guerre sainte contre ces Catholiques Français ! Voila ce que m’a inspiré l’aspect religieux de cette déclaration de guerre !

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26 décembre 2015 6 26 /12 /décembre /2015 22:36

Publié sur le Catholicapediablog~~Martial lien permanent septembre 12, 2015

commentaire sous l'article intitulé: "noachisme: la réalisation du grand projet d'un monde meilleur" en date du 11 septembre 2015

« Pour Jacques Attali, « l’hyper-empire », né d’une dérive du capitalisme libéral, générerait des déséquilibres extrêmes et de profondes contradictions. Il s’effondrerait de lui-même laissant le champ libre à une prolifération de conflits. Ceux-ci embraseront alors la planète entière en un conflit global, « l’hyper-conflit ».

ET… son cousin rav Urie Cherki est arrivé… détenant la clé du « bien » : la « Parole de Dieu » talmudique propose l’« Empire messianique ». Cet empire possède son Roi et ses Prêtres : le Peuple-Messie Élu ; il se fait assister de ses lévites, les frères ∴ qui tous unis, dans l’Un métaphysique. Il dispose de sa populace, mondiale, qui attendrait, impatiente…

Jadis, les Gaulois et les Francs du Royaume Franc et Catholique avaient reçu de Dieu toutes les bénédictions : géographie, climat, fertilité, frontières naturelles, bravoure, vertus et génie de ses enfants, Baptême royal par N.-S. J.-C. avec Clovis, héritage romain avec l’État de Charlemagne, legs avec Saint Louis du Droit et de l’intelligence antique (la Sorbonne). Ainsi le peuple de France n’ayant pas connu « le chagrin d’être préoccupé par une guerre quotidienne de survie », et baignant dans une confiance sociale inspirée de l'Evangile, avait pu accomplir son devoir d’état de Royaume de N.-S. J.-C : créer, inventer, échanger, gérer dans les coutumes, et dans toutes les sciences, les techniques et les arts, défendre et illustrer l’Église, propager la civilisation et la Foi…

Las, un fois le peuple de France parvenu au faîte de sa puissance, de sa renommée, et de son talent, aux Temps modernes, ses épigones privilégiés et « éclairés » ont osé s’attribuer avec une rare impudence l’entier mérite, de droit en quelque sorte, de ces exploits ; ils se sont même et surtout posé en victimes (sur quel modèle ?) ; à les entendre, ils auraient été opprimés et empêchés, à cause de « l’infâme » Union du Trône et de l’Autel, de démontrer au monde entier qu’ils pouvaient monter encore beaucoup plus haut, par la Raison…et leur « Génie » de Révolutionnaires qu’ils étaient par nature …

On connaît la suite et les fruits foudroyants, depuis 1789 et la IIIe république. de ces obscures « lumières » que de vulgaires lévites avaient cru pouvoir emprunter à ceux qui les avaient inventées dans les ténèbres et dans leur unique intérêt. Ceux qui prétendent avoir connu, — selon les termes du rav Oury Cherky —, « le chagrin d’être préoccupés par une guerre quotidienne de survie », mais ne révèlent pas comment ils s’en sont « délivrés » (soi-disant), peuvent accomplir aujourd’hui leur rêve de plagier les créations, d’exploiter les inventions, de gérer les organisations, dans tous les domaines de la connaissance et de l’action, sans plus aucune frontière culturelle (au sens large), politique, économique, technique, ethnique ou religieuse…

Ils peuvent au passage, en calomnier la source et plus encore, en capter les derniers rayons bénéfiques, ceux qui rendaient encore vivable jusqu'à ce jour, l'oppression capitaliste planétaire, dont la cruauté surgit progressivement au grand jour.

S’agissant spécialement de l’emprise « impériale », matériellement, ou « messianique », formellement, sur la religiosité populaire des nations du monde, le rav Ouri Cherki énonce ce principe : « Chaque nation, selon sa nature, adopte son propre style de servir le Créateur, comme conseillé et guidé par la nation sacerdotale, la nation d’Israël" . C’est afin d’appliquer ce principe, et en commençant par la France, à titre de funeste première de série, que la IIIe république a fabriqué le faux principe de la pseudo-laïcité de l’État. L’espace public de la « civilisation des droits de l’homme » est, ou doit le devenir nécessairement, par essence sans frontières. En chaque peuple encore subsistant, l’espace public de ce peuple doit donc demeurer libre et vide de toute prétention religieuse, pour laisser une place disponible pour ses « Prêtres ». C’est à cette fin, que le discours idéal de l’impossible et ridicule « neutralité » de l’État a été inventé comme un déguisement juridique dans la tragi-comédie qu’exhibe l’histoire des démocraties modernes.

Il s’agit en réalité tout simplement du masque du remplacement dans l’espace public de chaque peuple de « la religion de sa cité » (toute religion étant nécessairement en lien culturellement organique avec un État) au profit en dernière analyse de la religion Noachide, pouvant seule informer et inspirer, de manière respectable, « l’Empire », matériel et matérialiste. Et en celle-ci, il ne peut subsister qu’une seul : celui du Peuple sacerdotal (et dont sa « Mémoire », et ses "lois" consécutives).

Tous les anciens sacrés (en particulier les religions, mais aussi beaucoup d’autres faits culturels) tombent dans le profane (« éloge du blasphème ! » glapit la Fourest ! mais aussi la Destruction conciliaire) ; cette chute s’opère sous le poids de l’oppression populaire imposée par la « civilisation de la marchandise ». C’est avec cet arrière-fond idéologique fondamental, qu’on apprécie combien le clown blanc François zéro, trois fois pointé, s’illustre par son zèle de petit histrion obscène (outre l’obole qu’il ne négligera pas de verser à ce rav), cette profanation universelle, et au premier chef de la Sainte Religion, dont il serait malgré tout et encore, demeuré le chef, légal, légitime, et…sacré !!

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20 décembre 2015 7 20 /12 /décembre /2015 19:20

~~Martial lien permanent, publication de septembre 17, 2015, sur le Catholicapediablog

À l’instar des calculs et méthodes de sa maison-mère, et dont la « république » est filiale de premier choix dans la sphère politique, la mafia conciliaire qui s’est cooptée depuis un demi-siècle de plus en plus à découvert procède par étapes. Dans le cadre du « programme » « D.M.I. », expliqué par un prêtre il y un siècle environ par un prêtre canadien je crois, l'abbé Huot,

1. Elle a donc d’abord Détruit ce qui était le plus aisé pour elle, à savoir la doctrine, en commençant vraiment à partir des années 1920-30… C’était Le plus simple eu égard à l’ignorance et à l’indifférence religieuses du clergé en général.

2. Ensuite elle a Matérialisé ce qu’elle ne pouvait détruire, ce qui était moins simple ou plus long à détruire si l’on veut, en s’attaquant aux sacrements, dès la clôture de son conciliabule vaticanesque. Et comme l’a montré Rore Sanctifica, il est révélateur que la perversité diabolique ait d’emblée modifié la forme substantielle de l’ordre et de la Messe en particulier en la matérialisant en des choses naturelles devenues de si « puissants leurres ».

3. Enfin, un siècle après environ les temps étaient mûrs, une « croyance » psychologique, des rites sociaux de fraternité, préparaient les âmes fragiles de zombies à la fois narcissiques et grégaires à consentir à se voir Imposé par "l’Autorité", ce qui n’aurait pas pu être détruit ni matérialisé auparavant : Un caractère distinctif de la morale catholique

(cf. « craignent que tout l’édifice (entendez : celui de Vatican II) ne s’écroule dès lors que l’on supprime un de ses fondements », écrit le journal allemand) le mariage institutionnel chrétien, par essence indissoluble, laisse enfin la place au mariage-contrat, qui peut être rompu par consentement mutuel.

Un parallèle peut être suggéré. Ainsi 40 ans après, la secte conciliaire transpose dans sa législation (comme la "République qui est en France" transpose les directives de l'Union —république— européenne) s’aligne sur la secte giscardienne ayant institué en 1975 ce genre de divorce. Plus généralement elle s’adapte aux divers diktats du féminisme, du consumérisme et de l’hédonisme imposés…

Un comparaison encore: La violence d’« imposition » manifestée par François Ø, foulant aux pieds les propres règles de la « démocratie » post-conciliaire, à l’instar de ses maitres en politique, lorsque ces règles ne remplissent plus leur rôle d’addiction du "bétail croyant" à l’esclavage désiré, me fait penser à celle des grandes multinationales monopolistiques et cosmopolites qui imposent leur norme exclusive à la planète. Quant à la « résistance » de certains évêques et membres de la Curie, elle évoque les tentatives de rébellion de petits boutiquiers, qui craignent de perdre leurs petit fonds de commerce, locaux ou nationaux…

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2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 13:15

Brève réflexion à propos du rapprochement œcuménique de 2017 (5e centenaire de Luther).

~~Les disciples de Luther ne forment plus qu'un groupement marginal, leur influence est noyée dans celle de la pensée unique, leur doctrine était en principe totalement anti catholique.Bref, on est en droit de se demander qu'est-ce qui peut commander l'urgence de fusionner avec eux ? unir trois ou quatre éclopés, cela ne constituera jamais un régiment d'hommes valides.

En fait, Ratinzer-Benoît16 et Bergoglio-François s'activent pour dissoudre le catholicisme dans une tambouille de mixture éclectique.

Dans ce but, ils utilisent tous les ingrédients qui trainent à droite et à gauche. Et pour couronner le tout, ayant contribué à construire une religion unique de la Dignité abstraite de l'Homme abstrait, ils favorisent au plus haut point les initiatives cultivant en même temps, la diversité de chacune des sous sectes afin d'échapper à l'objection du syncrétisme que pourraient émettre certaines de leurs ouailles respectives. Ils nomment ce simulacre, "le dialogue" interreligieux, de nature culturelle et éthique; ces réunions vont devenir régulières, s'intensifier et s'institutionnaliser pour forcer les benêts à suivre, c'est l'oecuménisme par le "haut"...

~~Tentons une comparaison plus éclairante. Dans le domaine économique vous observez des fusions de capitaux, de sociétés, et d'actions, et il existe alors une société multinationale qui a des activités économiques dans des branches différentes, et à l'intérieur des branches qui rachètent des marques commerciales et des produits commerciaux concurrents.

Ainsi vous allez à Pizza Paï, ("cuisine italienne") et vous allez en face chez Léon, ("cuisine belge") et vous apprenez qu'en réalité les deux restaurants concurrents appartiennent à la société auchan. Cest pourquoi, il ne se produit pas une fusion syncrétique des cuisines éparpillées. Au contraire, Auchan va vanter les mérites soi-disant originaux de chacun de ces restaurants, alors qu'en fait ces magasins sont organisés sur un modèle unique et supérieur, en auberges à "mal' bouffe industrielle, formatée, empoisonnée même, et coûteuse par rapport à la qualité...et placés sous l'égide d'une unique entreprise ayant une unique finalité, une unique gestion, une unique façon de traiter le client...

Nulle contradiction ne règne, car la fusion d'un côté et la diversité de l'autre, se réalisent à deux niveaux différents. Il s'agit de deux espèces différentes de doctrines participant d'un unique genre d'idéologie.

LUERNOS (réédition d'un message sur un site internet d'octobre 2010)

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