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22 novembre 2007 4 22 /11 /novembre /2007 21:40

en effet elle n'est pas du tout nouvelle ni moderne, au sens propre de ses mots, elle est très antique. Mais ce terme est employé dans le sens qui qui signifie qu'elle n'est pas le Christianisme. on parle aussi de nouvelle cuisine, où on n'a rien à manger dans son assiette , sous une apparence flatteuse ; on peut dire aussi néo christianisme ou christinianisme mondialiste, etc etc sur le plan théologique du talmudisme, elle est en effet le noachisme. Sur le plan de l'histoire et de la sociologie des religions elle est une analogie avec le talmudisme du premier siècle. J'avais exposé cela sur le LFC. Il s'agit d'une analogie sur ce plan. La religion hébraIque authentique vieille de deux millénaires à l'époque, devait par nature nécessairement aboutir et engendre le Christianisme, ce qui a été le cas pour une minorité de juifs qui sont devenus chrétiens en consentant à la divinité de NSJC. Mais cela n'a pas été le cas pour la majorité, qui ont suivi les rabbins, qui avaient déjà perdu le vrai esprit hébraIque de la Révélation et de l'annonce du Messie par les Prophètes! ils ont inventé le talmudisme qui a un esprit mélangeant le paganisme et l'orgueil intellectuel des philosophes grecs ! un comble aujourd'hui pour les juifs qui ont cet esprit ! or au bout de deux millénaires de Christianisme authentique, de façon semblable sociologiquement, une toute petite minorité a conservé la Foi, tandis que les autorités et le peuple sociologique a adopté "une talmudisation" du christianisme. c'est à dire que ce n'est pas la Révélation historique qui compte, c'est la conscience de chaque fidèle qui fabrique sa croyance, comme le talmudiste actuel, le nouveau crétin fabrique sa croyance. Ceci est une preuve expérimentale de la vérité du vrai christianisme des origines qui a réusi, et de l'imposture de la nouvelle religion qui échoue, de même que le talmudisme est une imposture pagano grecque - devenue une mafia fermée, - de l'ancienne religion hébraique qui a réussi en devenant le christianisme . C'est en ce sens analogique qu'il faut comprendre la siimilitude des circonstances d'émergence des deux fausses religions, qui ajoutées à l'émergence de l'islam forment les trois fausses religions talmudiques, deux pour les goym et une réservée pour les non gogyim.

 

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je pense qu'il y a une façon commune de parler du mystere de Dieu Divin, c'est l'obscurite qui entoure le Divin, l'infini, l'au-delà.
et il ya la façon chretienne d'en parler qui est spécifique.

1.-La première manière dit que le domaine de "Dieu" est insondable, par conséquent toutes les religions, les philosophies, les sagesses, les spiritualités se trouvent en quelque maniere a egalite dans ce domaine.
Ceci est un des arguments de la nouvelle religion mise en place sous le prétexte de V2:
sans cesse Subito par exemple a declaré que toutes les religions se rapprochent d'elles même par leur quête vers la plenitude de la verite foncierement inaccessible de Dieu.
Car ces gens-là, se limitent a voir dans le peuple d'Israël, puis dans la primitive Eglise de Pierre, seulement des pionniers, des commençants qui ont une experience inaugurale de la recherche du divin. Cette recherche qui aurait été particulierement riche selon eux, meriterait d'etre qualifiee de "'revelation" de maniere imagée, car cela ne signifie selon eux que ce n'est qu'un prototype de la recherche de tout homme vers Dieu.
En effet, la nouvelle religion enseigne aujourd'hui (théologie, catechese, papes, evêques) que chaque croyant contemporain reçoit une revelation aussi neuve et intemporrelle que celle des antiques hebreux des proophetes ou des apotres de Jesus... Tout le monde est a egalite quelle que soit donc sa secte protestante, orthodoxe, chretinne, et meme dans un degre en dessous talmudique, islamiste, hindou ,boudhiste, fetichiste même...
Chaque individu interprete personnellement et se fait une idee de l'obscurite divine, "du mystere de dieu".

2. la seconde dit tout le contraire, la revelation hebraïque est unique, temporelle, elle est particuliere.
elle porte sur la connaissance par certaines personnes particulieres du peuple hebreu et de l'histoire du Christ, d'une presence non evidente de Dieu, Dieu connu dans son acte de parler a l'homme ("le verbe") mais que l'on peut connaitre par l'intelligence comme l a demontre Saint thomas et que chaque personne de l'enfant au vieillard peut connaitre par la priere qui nourrit la certitude a cette information nouvelle.
Ce que nous demandons au clergé actuel c'est d'enseigner cette certitude, ce qu'il est incapable de faire. La question n'est pas le droit à lerreur de ce clerge qui soi disant pourrait etre "faillible", la question qui lui est opposée c'est qu'il doit avoir la certitude en la revelation. Ce clerge , comme Un medecin doit savoir distinguer la sante de la maladie, qu'il soit valide infaillible ou canonique, est une qualification subsidiaire, que le medecin soit docteur, agree par l'Etat, c'est subsidiaire, s'il ne sait pas distinguer la sante ou s'il confond les maladies, ce n'est pas une erreur à laquelle il aurdait droit au nom de l'incompetence, mais ici c'est qu'il ne peut pas être medecin, il en est de même du clerge qui n'a pas la foi .
le mystere de Dieu est donc un "secret" une realite non evidente de la presence de Dieu Trinitaire, en l'ame. Mais cette presence peut être expose rationnellement avec la logique d'Aristote, ce n'est donc pas une obscurite insondable comme c'est le cas en revanche pour toutes les autres sagesses et religions.

A titre d'illustration voici au hasard un commentaire sur Ste Elisabeth de la Trinite qui parle du mystere de Dieu : j'ai souligne ce qui est important dans la vraie nature de ce "mystere" connaissable mais non evident à l'orgueil spirituel et à la dureté du "coeur" (intellectuel)

[size=9][b]

 en résumé chaque fidèle de base peut comprendre de l intérieur en lui même ,quel que soit son pays , sa race ou son époque, cette présence de Dieu méconnue, non évidente. Mais cette présence de Dieu ne peut être objet de certitude toujours plus claire, au delà de la "nuit " du "dressage" de nos factultés humaines habituées à observer les choses matérielles du monde, qu'en étudiant Notre seigneur dans le Nouveau Testament, et en relisant l'Ancien à la lumière du Nouveau.
Car il ne faut pas prétendre imiter des "pionniers" qui auraient cherché et trouvé la sagesse chrétienne autrefois, pour prétendre trouver une nouvelle sur leur modèle et sur leur exemple .
!ceci c'est la nouvelle religion qui est une dégradation pire que le protestantisme.
C'est de vivre cette Réalité unique et non évidente , qui a eu lieu il y a deux mille ans et trois mille ans, en soi, pour devenir de nouveaux "Christs" mais exactement comme une reproduction humaine et soumise, du Christ et non pas comme de nouveaus petits prophètes en 2007 comme s'imaginent être les abrutis conciliaires!

Le contemplatif est un être qui vit sous le rayonnement de la Face du Christ, qui entre dans le mystère de Dieu, [size=18]non sous la clarté qui monte de la pensée humaine,[/size] mais sous celle que fait la parole du Verbe Incarné


Si j'ai bien compris votre traduction en concepts thomistes,
Cela signifie que l'on est en droit d'attendre du président de la conférence des évêques allemands qu'il ait la Foi en l'Eglise. Pourtant cela ne trouble pas le moins du monde son supérieur hiérarchique, ni ses confrères dans l'épiscopat...Or si l'on est en droit de demander cela chez un modeste fidèle, combient plus, un cardinal doit:
1.-attester, sur tous les plans et de toutes les façons en tous temps et en tous lieux ...Ce qui mobilise la volonté en lui, dans sa relation avec l'Eglise;
2.- qu'il possède la certitude intelligible en l'Eglise, ce qui manifeste le rapport de son intelligence avec l'existence surnaturelle de l'Eglise; (la matière) ;
3.- certitude fondée sur sa réalité ontologiquement surnaturelle (et non pas juridique comme certains semblent le croire), supérieure à l'univers, ce qui exprime la relation expliquant l'acte de certitude envers l'Eglise, (la forme", la réalité divine "informant "la certitude raisonnée, elle -même impliquang des proclamations, attestations, professions, volontaires du fidèle, comme du cardinal...

Lehmann n'atteste pas avoir de conviction intelligente sur l'existence d'une Eglise qui serait plus qu'une association juridique et sociale, car d'ailleurs il dit qu'il ne croit pas au "Christianisme". Il suffit donc de croire encore à un "être suprême" ,officiellement ,pour pouvoir porter encore une soutane à Rome.


En réponse à Parvulus:

.
J'ai moi-même ressenti toujours en moi la même certitude de l'originalité unique de la Révélation chrétienne. J'ai les mêmes sentiments que vous. Mais ce qui est indicible c'est qu'en plus, la mystique chrétienne n'est pas de la mystique naturelle ! c'est logique !

 

Citation:
[/b]
Résumé : Qu'Élisabeth demande à Dieu d'aller plus loin dans la profondeur de son Mystère renouvelle une approche courante du mystère. Le Mystère de Dieu n'est pas une énigme ou une étape vers une connaissance porteuse de salut. Il est le secret d'un excès d'amour, vécu en Dieu et révélé par l'Incarnation du Verbe. Une révélation que Dieu fait à tout homme pour l'inviter à entrer en lui et pour - comme Élisabeth - demeurer chez lui.
Donc, à aucun moment, il ne cherche à préciser où à corriger une mauvaise interprétation de l’auditoire sur sa pensée réelle concernant l’Eglise face à « la stupéfaction de l’animatrice »

Ce qui balaie les distinctions que l’on s’efforce d’établir, par analogie avec Dieu, entre « croire l’Eglise », « croire à l’Eglise » et « croire en l’Eglise » pour tenter de justifier les propos injustifiables de ce marrane

S’il est vrai que par trois expressions différentes, on ne désigne pas divers actes de la foi, mais un seul et même acte ayant diverses relations avec l’objet de la foi. Il faut néanmoins remarquer que selon saint Thomas

L’OBJET DE LA FOI peut se prendre soit

* du côté de l’intelligence elle-même, alors on peut voir deux choses dans L’OBJET DE FOI :

- une est L’OBJET MATERIEL DE LA FOI , de ce point de vue, L’ACTE DE LA FOI consiste à « CROIRE DIEU » puisque rien ne nous est proposé à croire si ce n’est dans la mesure où elle appartient à Dieu

- l’autre est la RAISON FORMELLE DE L’OBJET : c’est comme le moyen à cause de quoi on adhère effectivement à telle et telle chose parmi les réalités à croire, et à cet égard L’ACTE DE FOI consiste à « CROIRE A DIEU » car l’ OBJET FORMEL DE LA FOI c’est la vérité première, et c’est à elle que l’on s’attache pour adhérer par elle à ce qu’on croit.

* soit de la troisième manière en tant que l’intelligence est poussée par la volonté, alors c’est « CROIRE EN DIEU » qui est L’ACTE DE LA FOI : car la vérité première se réfère au vouloir (la volonté) en tant qu’elle s’offre comme une fin.

Dans tous ces cas de figure la foi en l’Eglise nous renvoie invariablement à Dieu

- que ce soit du côté de l’intelligence :

* Pour l’objet matériel puisque c’est Dieu qui nous dit que l’Eglise lui appartient « je bâtirai MON Eglise »

* Pour la raison formelle qui est la raison pour laquelle on adhère à elle « colonne et appui de la vérité" (I Tim III,15)

- que ce soit du côté de la volonté qui meut l’intelligence car Dieu nous enseigne que c’est par elle que s’obtient la fin : le salut de Dieu. « Hors de l’Eglise point de salut »

Citation:
Oui, vous avez raison. Mais n'empêche que c'est la conscience aiguë de cette singularité qui m'a toujous préservé, même aux pires moments de mon incroyance passée, de verser dans les pièges de tous les ésotérismes et occultismes à la mode ou pas, que je n'ai pas manqué de rencontrer sur ma route.

Eh puis, cela me plaît bien, que la vérité ne soit pas qu'affaire de logique! En fait, nous avons le fin mot de l'histoire, puisque Notre-Seigneur nous l'a dit: la Vérité, c'est Lui
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