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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 20:53

 

 

 

 

 

 

 

(suite de l'article XXVI)

 

 

— 5. Mais comment  mieux comprendre l’être par rapport à l’être dans l’essence,  à savoir  comment comprendre qu’il est  esse et acte d’être ?
Eh bien si l’on distingue  à juste titre les degrés divers en perfection entre les matières, les attributs, les essences,  ce n’est pas en raison de leur « mesure  différente »  de perfection respective.
Afin que la comparaison de ses divers degrés soit possible, il faut que l’être en fasse d’abord autant de réalités (logique et physique).
Il faut que  « l’être  fasse  des réalités » :  voilà ce qu’est l’esse.
Sur le plan physique et « réel », tel   « être humain »  existe tout autant  que la composition atomique qui en constitue la matière la plus élémentaire. Ceci est l’effet direct de l’esse acte d’être,  qui entraine que l’être est la perfection antérieure et supérieure à toute perfection (les degrés hiérarchique des substances).
Donc à l’intérieur de l’être, et à un niveau distinct de perfection dans l ‘être, (retenu à titre de condition de possibilité comme il est dit plus haut) il y a entre l’être d’un côté, et l’essence de l’autre, il y a causalité.
C’est l’acte d’être, actus essendi,  qui  cause l’être même de la chose.
L’essence, ou la forme, ne contribuant dans la chose que pour sa modalité,   sous laquelle peut s’exercer l’acte d’être. (cf. St Thomas, « l’être est dans le fini, l’acte des actes, etc. »)

 

 

 

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