(suite )
— 2. Ce préambule étant fait, et comme les théologiens excités de Verrua préfèrent la censure et le dénigrement, d’une part, et comme ils ne pourraient ou ne voudraient opposer au travail de Myra DAVIDOGLOU qu’une centaine de pages de leur bible thomiste plus pure que les plus pures des thomistes, d’autre part,
il me semble qu’il serait très intéressant de tâcher de comprendre l’objection de l’éminent thomiste R.P. Philippe, parce qu’il semble s’attaquer au noyau dur métaphysique de « LA THÈSE » version 2013. Pour ce faire, j’ai utilisé le même procédé que précédemment, avec un auteur thomiste renommé, en rappelant que proclamer qu’il n’y a qu’un seul « thomisme » relève d’une rare mauvaise foi, et, ou bien d’une grave incompétence.
La preuve en est, est que Mgr Guérard a dû appliquer, et donc interpréter , les XXIV thèses à la crise nouvelle de
Et que chaque étant est par nature indivisible, (mineure)
Alors on doit admettre avec le thomiste Suarez, que l’essence est l’être même (conclusion).
Il suite delà, que si l’on dit que l’essence être l’être même (majeure du nouveau syllogisme)
Et si donc on ne peut plus composer dans une substance,
de l’essence avec de l’être, (puisqu’il est identique à l’essence) (mineure)
Donc L’on ne peut plus considérer de l’être limité dans une substance (conclusion).
Dès lors, la substance serait une entité indivisible, et l’on échouerait sur le Charybde dénoncé par le RP Philippe. Comme on le verra plus loin plus précisément, dans la substance l’être serait limité à la forme essentielle.
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