Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : ORIGINES CATHOLICISM
  • : Catholicisme apparensiste ou dit "sédévacantiste" Catholicisme des origines, exégèse, philosophie, théologie, philosophie politique, histoire politique
  • Contact

Profil

  • Origines Catholicismus
  • Catholicisme, théologie, philosophie, métaphysique, histoire, politique
  • Catholicisme, théologie, philosophie, métaphysique, histoire, politique

Recherche

Archives

Articles RÉCents

Pages

26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 22:14

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRkDvAZQeTj0IgYWnSXgw-BRSVLqa4THOH3qIkHUsOUZaXaMF5dlwSUITE

 Résumé du plan de l'ouvrage

LA FAUSSE EGLISE PRIMITIVE RESSUSCITEE A CONSERVE SA STRUCTURE MONARCHIQUE MAIS Sa structure épouse l'étude des quatre pans de la pyramide conciliaire, c'est à dire l'émergence d'une nouvelle religion se prétendant un retour à une prétendue église primitive qui n'a jamais existé sauf dans les idéologies exégétiques d'Allemagne.

Chacun des pans comporte la base d'un triangle qui est la conception idéologique sur laquelle reposera l'édification du pan, encadre par l'arête de "l'imposition" c'est à dire l'assujettissement par l'autorité (en l'espèce une infaillitbilité transférée sur un collège démocratique ) et aussi par l'arête de la "matérialisation" des consciences par le truchement des réseaux d'influence et des professions "savantes"

Cette perspective d'analyse ne sacrifie pas à une dialectique spécieuse, ou à une figure de rhétorique frivole et encore moins tendancieuse. reprenant la quadruple causalité aristotélicienne, elle permet de construire une démonstration logique entre quatre synthèses brossées autour des axes premiers de toute réflexion : la cause efficiente, la cause formelle, la cause matérielle, et la cause finale.

voici donc les quatre parties correspondant à chaque "pan" de causalité du double phénomène de la fausse église et de la vraie nouvelle religion :

PREMIERE PARTIE  

premier pan :
Julien l'Apostat II décide l'émergence de la "nouvelle religion"

CHAPITRE PREMIER

la démocratie est incompatible avec le Christianisme :

A.- Le Christianisme est un réalisme ontologique surnaturel dualiste. Il implique une union du trône et de l'autel. Nous exposons selon une méthode didactique qui nous fait partir de la cause, pour descendre aux effets. Cependant en réalité cette cause surnaturelle est connue logiquement en partant des effets et en remontant par une ascension de degrés épistémologiques.

B.- la démocratie est une monisme ontologique acosmique. Il implique le cercle vicieux entre un chaos individuel et une tyrannie collective. Notre méthode nous fait partir de la cause philosophique, pour descendre aux effets. Mais le raisonnement est le même que celui utilisé ci-dessus.

C. La démocratie est une sécularisation de dogmes théologiques, d'après Carl Schmidt.

par analogie "religion", "sacré",

elle est aussi une parodie du Christianisme comme il ressort du panorama généalogique comparatif que nous avons esquissé au-dessus.

Il est une utopie kantienne et hégélienne (cf. Maxence Hecquard)

Enfin dans l'Esprit des Lois, au chap. 3,  Montesquieu écrit :

La religion chrétienne est éloignée du pur despotisme c’est que la douceur étant si recommandée dans l’Évangile, elle s’oppose à la colère despotique avec laquelle le prince se feroit justice, et exerceroit ses cruautés.

Cette religion défendant la pluralité des femmes, les princes y sont moins renfermés, moins séparés de leurs sujets, et par conséquent plus hommes ; ils sont plus disposés à se faire des lois, et plus capables de sentir qu’ils ne peuvent pas tout.

Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels. Le prince compte sur ses sujets, et les sujets sur le prince. Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d’objet que la félicité de l’autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.

C’est la religion chrétienne qui, malgré la grandeur de l’empire et le vice du climat, a empêché le despotisme de s’établir en Éthiopie, et a porté au milieu de l’Afrique les moeurs de l’Europe et ses lois
.

et au ch. 14:

Comme la religion et les lois civiles doivent tendre principalement à rendre les hommes bons citoyens, on voit que lorsqu’une des deux s’écartera de ce but, l’autre y doit tendre davantage : moins la religion sera réprimante, plus les lois civiles doivent réprimer.

Ainsi, au Japon, la religion dominante n’ayant presque point de dogmes, et ne proposant point de paradis ni d’enfer, les lois, pour y suppléer, ont été faites avec une sévérité, et exécutées avec une ponctualité extraordinaires.

Lorsque la religion établit le dogme de la nécessité des actions humaines, les peines des lois doivent être plus sévères et la police plus vigilante, pour que les hommes, qui, sans cela, s’abandonneroient eux-mêmes, soient déterminés par ces motifs ; mais si la religion établit le dogme de la liberté, c’est autre chose
.

 A SUIVRE

Partager cet article
Repost0

commentaires