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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 19:13

 

 

(A paraître )

 

Les multiples monarchies celtiques n'avaient duré que durant seulement un millénaire dans les Gaules,

Puis la province gallo-romaine de l'Empire n'avait résisté environ cinq siècles,

la monarchie française et catholique n'avait triomphé que durant environ quinze siècles, 

Mais hélas, cette si sublime et indicible république française, enfin triomphante de l'obscurantisme et de la barbarie de l'ancienne France, cette fière cité matrice de la république universelle, cet incomparable phare de l'humanité, ce zénith de la civilisation, modèle du monde qui l'enviait, etc...- nous sommes contraints d'abréger ces narcissiques émerveillements  , n'aura duré que 130 ans !  (lois constitutionnelles de 1875 - référendum bafoué de 2005, traité de 2012) , mais surtout, elle se sera suicidée, et qui plus est bouffie d'orgueil dans sa lamentable disparition ! Quelle injustice !   

Examinons d'un peu plus près ces chères valeurs de la républiques, sans être dupes des envolées lyriques médiatiques de quelques minutes de certains ministres en mal de jouets de communication.   

1. La langue française et la francophonie ont fait leur temps !

Promue par le Pouvoir royal au 16ième siècle, puis imposée de façon totalitaire et violente par la Révolution et par la Troisième république dans l'hexagone rural, puis dans son empire colonial,

la langue française est aujourd'hui reniée par l'élite oligarchique, et ses valets universitaires et médiatiques à sa solde. Ainsi est démontré le fait que le français n'a été qu'un instrument provisoire, historique et contingent. Hier efficace pour détruire les richesses et les libertés des cultures multiples et variées de la France, et celles des pays colonisés, la république méprisant les dialectes régionaux et locaux.

Elle est aujourd'hui nocive et négative dans le travail de parachèvement de la dictature culturelle mondiale qui se met en place  et dans le meilleur des monde émergeant: un certain sabir d'anglais est à la mode, il est la norme marchande de demain; son auxiliaire sera la langue arabe, langue sacrée de la première religion pratiquée en Hexagone, langue des noms et patronymes des nouveaux citoyens, et langue de la mémoire d'un peuple injustement opprimé il y a peu, par cet Hexagone.       

Mais toujours est-il que la république a mis à la poubelle ce français.         

2. Le sentiment national.  

La république avait enrôlé de force ses tous jeunes citoyens qui n'avaient jamais su ce qu'était la guerre, ces pauvres naïfs. Mais sous prétexte qu'elle était "en danger", la république commença en fanfare à boire le sang de ses enfants: les guerres de la République, les génocides vendéens, et à un degré moindre lyonnais et marseillais, la guillotine, les conquêtes du Consulat et de l'Empire avaient besoin de chair à canon pour la plus grande gloire de la France républicaine. Puis elle leur instillé le fameux patriotisme bonapartiste en 1870,puis républicain de la Troisième, en particulier au moyen de l'infâme histoire de France, monceau de falsification et de propagande, du nec plus ultra des républicains, Michelet. Tout cela en vue de subir le génocide maçonique de 1914 (Clémenceau a refusé la paix en 1916) puis encore endurer la défaite, l'emprisonnement de la deuxième guerre mondiale, einf les guerres d'Indochine et d'Algérie. Or c'est surtout en cette dernière guerre que le patriotisme républicain a montré toute son horreur; c'est pourquoi l'Education Nationale fait aujourd'hui sagement repentance de son ignominie à l'égard des indigènes de la république, des anciens colonisés et que cette république doit payer et payera sa dette imprescriptible à l'endroit des descendants de ces anciens peuples ignoblement colonisés et exploités par cette république innomable.

Quel citoyen de la république oserait aujourd'hui afficher un sentiment nationale patriotique ? Personne Dieu soit loué. Enfin cette république fait repentance et s'ouvre enfin à l'altérité infinie de tout citoyen de la terre, et plus spécialement les plus pauvres.

3. l'égalité sociale.   

 

 

 

 

 

 

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